Le retour à Normandie

Sayll détourna le regard d'Anna et dit d'un air froid

-Alors, vous savez ce qu'il vous reste à faire. Votre fille est très déterminé, peut-être trop même, ça pourai la menner à sa perte, mais si vous continuer avec l'idée de nous éliminer, il se pourai que sa perte sois maintenent plus qu'une question de secondes,de minute ou même d'heure

puis, il se leva et se diriga vers Anna

-J'admire ta détermination, mais fait attention au coup de tête, ça pourai etre dangereux

A ce moment Marianne vit un aure coté du roi. Il aimait une personne chere a ses yeux. Elle tenta alors quelque chose. Elle leva ses yeux et elle aussi faisant semblant detre au bord des larmes dit au roi :

-Vous aussi? VOUS AUSSI? Je ne comprend pas... Vous nous empecher de vivre en paix et de ne pas etre séparer et par la suite vous pleurez pour ne pas etre séparée de votre fille? Je ne comprends vraiment pas... Je ne comprends pas pourquoi vous ne nous comprenez pas... Vous aussi vous etes déchiré de l'intérieur car vous risquez de perdre UNE personnes chere a vos yeux alors imaginez un peu ce que vous nous infliger. La peur. La peur de perdre au moins DIX personnes cheres a nos yeux. Ne comprenez vous pas?? Meme si nous sommes que des villageois, nous avons aussi un coeur et des sentiments. Vous allez surement pensez que notre situation est différente et que tout le monde prisonnier ici présent ne sont pas de la meme famille alors que vous c'est votre fille et que ce n'est pas la meme chose! Eh bien voyez, je suis enceinte, oui enceinte de votre fils!! Et s'il perd la femme qu'il aime (elle jetta un petit coup d'oeil vers Guillaume jr, car en fait, elle n'était pas sure si c'était vrai mais elle si fiait a son instinct) et en plus son enfant (elle regarda son ventre un peu rond) et du meme coup tous ses amis (elle fit un signe pour démontrer tous les prisonniers), essayez d'imaginer la peine qu'il aura! Vous etes au bord des larme lorsque vous risquez de perdre une de votre fille. Je n'imagine pas non plus la peine que vous avez eu lorsque vous appris que vous aviez perdu un de vos fils... Alors essayez svp, de comprendre ce que nous ressentons tous en ce moment. Je n'ai plus rien a dire...

Marianne esperait qu'elle aviat convaincu le roi mais ne pensait pas qu'elle avait réussi. Elle regarda donc par terre se demandant comment elle avait pu avoir assez de courage pour dire ca, ce n'était pas son genre... Elle attendait que quelqu'un réagisse...

Au moment ou marianne prononca les mots familles, Sayll ne put s'empecher de penser a ses vrai parents qu'il n'avais jamais connu...puis il repensa aux "parents" qu'il a eu et aussi a Jaku.

Puis il se rassis regardent le roi, il regarda tous le monde dans la "pièce"

-Je ne vous connais pas depuis très longtemps, mais j'ai vite comprit ce qui vous tennai a coeur

il jeta un autre regard au roi

-Je peux vous posez une question? Pourquoi voullez-vous tous nous tuez? sa vous servirai a quoi? a mettre votre fils et votre fille très malereux...Oui, vous etez un roi, mais un père avant tout. et ce qui fait le bonheure d'un père, c'est que ses enfants sois eux aussi heureux

(méga faute d'otograme mais yé minuit -15 je reviens du pizza hut, jsuis bruler fak c normale XD)

cette fois, le roi fut pris par les sentiments. Marianne avait réussi a l'atteindre au fond de son coeur. Il avait les yeux plein d'eau. Il ne pouvait plus femer les yeux et regler la situation en les otant de son chemin aussi facilement. Marianne avait avait raison, il comprenait maintenant aussi la reaction de sa benjamine. Son fils Hugues était mort et c'était déja une mort de trop.

- Anna, lache cette arme, dit-il d'une voix douce et inhabituelle.

il se retourna vers ses prisonniers.

-personne ne sera tué... ni encore maltraité, je vous le promet. mais aidez moi au moins a convaincre ma fille de rester en vie. Je fais le serment que je ne vous ferai plus de mal.

Il regarda Marianne.

-quant a vous mademoiselle vous m'avez grandement étonné et touché. Veuillez acceptez les excuses d'un vieux roi qui a deja perdu un enfant.

Il regarda son fils guillaume dans les yeux.

-vous pourrez vivre heureux... je vais faire construire un chateau pour vous et votre progéniture et des que je pourrai je vous donnerai un titre. Je veux que mon petit-fils ou ma petite fille ait tout ce dont elle a besoin.

Il se retourna vers ses soldats.

-gontrant aller aider cette demoiselle et si il y a quelqu'un qui peut la soigner, faites tout ce que vous pouvez.

Il regarda de nouveau sa fille qui n'avait pas bouger.

-aller ma luciole... je t'en prie ne fait pas ca.
-

Anna déposa l,Arme. Des larmes commencerent a couler sur ses joues.

-papa, je n'en demandais pas plus, tu viens de permettre a tous ces gens de vivre une vie heureuse. Punissez moi comme vous le voudrez, au moins j'aurai la conscience tranquille et le coeur en un seul morceau.

Elle sauta dans ses bras.

-merci d'épargner mes amis et de laisser Guillaume jr. vivre sa vie... il vous en sera éternellement reconnaissant j'en suis persuadé.

la princess pleurait dans le cou de son pere qui avait refermé ses bras sur elle.

Camelot ne pouvait y croire. Le roi de France les épargnaient tous! Il était aussi soulagé de voir qu'Anna avait renoncé à son idée. Un regain d'énergie s'empara du chevalier errant et il manifesta sa joie en serrant dans ses bras la première personne qu'il vit... Maxime. Ils se regardèrent ensuite dans les yeux et après un court instant, ils détournèrent leurs regards de façon embarrasée. Camelot chercha ensuite Amayelle du regard, soudain inquiet. Il demanda poliment au roi:

-Je vous remercie de votre clémence, votre Majesté, mais puis-je vous demander une dernière faveur? Serait-ce possible que quelqu'un défasse nos liens? J'irais porter Amayelle chez Cassandre. Son état à l'air de s'agraver. Elle seule pourrait la guérir.

Sayll regarda tout le monde dans la piece, et un sourir vien le chercher quand il sentit dans son dos, un museau mouiller


-Il faudrait mieu se dépécher, non?

Le roi était content que sa fille est renoncé a s'ôter la vie. Il n'avait plus aucune rancune envers ces gens qui étaient attachés.

le roi aquiesca a la demande du chevalier et fit un signe au commandant de sa troupe. Les soldats commencerent a défaire les liens des prisonniers qui étaient maintenant libre. Il appuya sa tete sur celle de sa fille qui était plus basse.

-nous en reparlerons plus tard ma luciole, pour le moment tout ce qui m'importe c'est que tu soit en vie.

Il défit son étreinte et essuya une larme sur sa joue. Il la regarda en souriant.

-rentrons maintenant, lui dit-il

il se retourna vers le reste des gens autour de lui.

-ca s'adresse a chacun d'entre vous, bien sure.

Guillaume jr, hébété de la décision de son père, alla rejoindre Marianne et l'entoura serré. Il prit ses deux mains autour de sa tête et l'embrassa passionnément, et ce, pendant un bout. Cette nouvelle l'avait tant réjoui qu'il s'était dit qu'il devait aller remercier son père avant de repartir.

Après un instant, il regarda sa bien-aimée, les yeux pleins d'eau. Il l'embrassa encore comme si c'était le meilleur moment de leur vie (en fait c'est peut-être vrai). Guillaume jr ne put s'empêcher également de laisser couler une larme de joie sur sa joue. Cet offre que son père venait de présenter allait engendrer tout son futur: un mariage avec Marianne et un enfant qui possédera un héritage. Bref, tout ce qu'il y a de plus heureux à avoir dans une vie.

Guillaume jr prit la main de Marianne et alla voir son père.

-Père, je vous présente la femme pour qui j'ai un amour fou. Sans elle, je n'aurais pas eu le plaisir de goûter à la vie. Permettez-moi, père, de vous demander l'union entre Marianne et moi.

Le prince héritier fit la révérence devant son père, tenant la main de Marianne.

Marianne était tout aussi émue que tous les autres. Jamais elle n'aurait pensé touché a ce point le roi de France. Elle était heureuse. Elle allait pouvoir se marier avec l'homme qu'elle aime et enfin avoir son enfant. Elle suivit Guillaume jr et dit au roi avant qu'il ne réponde:

-Je voudrais avant tout vous remercier, sir de nous avoir laisser la vie sauve. Merci du plus profond de mon coeur.

Encore une fois, quelques larmes de joie coulerent sur sa joue. Jamias elle aurait pensé qu'elle aurait été aussi heureuse en ce jour. Elle entendit donc la réponse du roi, toujours en tenant fermement la main de Guillaume jr.

-soit, mon fils, soit. Nous rentrerons tous au chateau et nous celebrerons cet évenement tous ensemble. Vous aurez, mon fils, un mariage de noblesse royale comme vous le méritez. De plus ensuite nous ferons un grand banquet et tout le monde y sera convié!

Il déposa la main sur l'épaule de son fils et lui fit un grand sourire.

-Allez tout le monde, rentrons!

Anna n'en revenait pas qu,elle et Marianne aient réussi a faire réagir son pere en faisant cet acte double. Elle s'approcha du roi.

-puis-je chevaucher seule un cheval, pere? lui demanda t'elle.


*** haut roi ***

-bien sure ma puce, vas-y de toute maniere nous n'avons pas assez de cheval pour tous allors nous n,irons pas vite.

Il se tourna vers un lieutenant.

-passez votre cheval a ma fille, lieutenant, vous pourrez marcher non loin d'elle.

le lieutenant acquiesca et preta son cheval a la princess.

*** Anna ***
-je vous remercie pere

-Il faudrai mieu y aller, des bêtes rodent dans les parages

il esquisa un sourir

-Moi, j'irai a pied, sa ne me dérange pas de marche, tan que Jaku viens aussi ^^

il regarda tout le monde

il était heureux de voir ce qui se passai

Enfin libre, Camelot se dirigea vers le roi. Là, il mit un genou en terre en signe de profond respect et alla ensuite vers Guillaume junior.

-Je vais partir sur le champ, car l'état d'Amayelle m'inquiète énormément. Je vous rejoindrai peut-être au banquet si elle se porte mieux, mais sinon, je resterai à son chevet. Alors... si on ne se revoit pas, je vous souhaite tout le bonheur du monde. Vous le méritez. Merci de m'avoir fait confiance.

Il déposa ses lèvres sur la main de Marianne. Il se retourna ensuite vers son ami d'enfance et ils se firent une accolade fraternel. Camelot savait bien qu'Amayelle ne s'en remettrait pas si vite et était sûr de ne pas revoir ses amis au banquet. Il glissa donc à l'oreille de Guillaume Junior:

-Adieu, mon ami.

Ils se laissèrent et Camelot alla rejoindre sa bien-aimée inconsciente.

Lorsque Danaë vit que tout le monde se préparait à partir, elle éclata en sanglots. Ses jambes frêles ne purent supporter sa peine et elle tomba à genoux, des larmes ruisselant sur ses joues roses jouflues.

-Ne partez pas! Je ne veux pas être toute seule! Ne m'abandonner pas dans la forêt comme mon papa et ma maman! Je ne veux pas être toute seule! répéta-t-elle entre deux pleurs.

Camelot alla voir d'où provenait ses lamantations déchirantes. Il trouva Danaë en pleurs sur le sol. Il essaya de la réconforter, mais elle était inconsolable. Il prit délicatement son visage entre ses mains d'homme, obligeant Danaë à le regarder dans les yeux:

-Je te promets, Danaë, qu'on ne te laissera jamais seule, tu m'entends? Tu as ma parole. Pour l'instant, je ne peux pas t'amener avec moi, car je dois porter Amayelle. Reste avec Guillaume Junior en attendant, d'accord? Je m'arrangerai.

Maxime se frotta les poignets quand il fut enfin délivrer de ses chaînes. Il fut surpris de la réaction de Camelot lorsqu'il l'avait pris dans ses bras. Il ressentait un sentiment étrange au fond de lui chaque fois qu'il était en compagnie de Camelot.

Il y eut soudain des hennissements au loin et des bruits de sabots de chevaux qui galopaient. Courage et Jack immergèrent de la noirceur de la forêt et se dirigèrent vers leur maître respectif à leur grand bonheur.

Jack bouscula Maxime pour jouer. Ce dernier éclata de rire, prit son élan et d'un bond, atterrit sur le dos de son destrier. Jack fit quelques cabrioles, heureux d'avoir retrouver son cavalier. Maxime sauta ensuite en bas de son cheval et lui caressa l'encolure pour le calmer.

-Qu'est-ce que je suis content de te revoir, lui souffla-t-il à l'oreille.

Jack lécha le chevalier et se laissa masser le cou.
Quand il entendit Danaë, Max eut une idée. Il se retourna vers elle tout en parlant à Camelot.

-Et si la petite venait avec moi? Elle te suivra et ça va me faire plaisir de l'emmener sur Jack!, dit-il d'un ton enjoué.

Il était surtout content de ne pas avoir à faire ses adieux à ses meilleurs amis d’enfance. S’il accompagnait Camelot, il était sûr de les revoir et il n’avait pas à tirer sa révérence tout de suite.

Danaë réussit à essquisser un sourire malgré son visage mouillé et ses yeux encore remplis de larmes. Elle sauta au cou de Maxime et le serra contre elle. Entre deux soubresauts, elle lui dit, soulagée:

-Merci!

Maxime resta surpris sur el coup par la réaction de la filette. Attendri, il la serra à son tour dans ses bras. Il la lâcha en disant à Camelot:

-On devrait partir au plus vite avant que le cas d'Amayelle s'agrave.

Danaë s'approcha de Jack. Curieux, le cheval renifla la petite boule de vie devant lui. La petite fille essaya d'attraper ses oreilles, mais Maxime intervint, la prit dans ses bras et la déposa sur le dos de son destrier. Il embarqua à son tour en arrière de la fillette et ils partirent à cru au pas pour attendre Camelot, Amayelle et Courage.

(À cru, ça veut dire sans selle)

Anna fit tenir son cheval par un soldat et s'assit par terre. Elle regardait la scene et se réjouissait de voir ses compagnons retrouver leur joie. Elle était contente pour eux, mais un grand vite flotait dans son coeur et son esprit et de la peine aussi. Elle s'ennuyait tout d'abbord de Kotaro qui avait étési souvent avec elle et aussi elle se disait que plus rien ne serait jamais pareille. Elle allait bientot se marier et etre obligée de supporter son futur mari. Elle n'oublierait jamais cette période de sa vie qui allait sans etre une des plus heureuse de son existence.

Elle était assise la tete appuyée dans sa main a regarder le soleil se coucher a l'horizon.

* ma vie de jeune fille se termine comme se soleil qui s'en va. plus jamais ce ne sera pareille. Un jour nous nous réunirons sur une meme baniere. ce sera la paix. Je les reverrai un jour. tous sauf un j'imagine, celui qui aura su faire battre mon coeur.*

Elle commenca a verser des larmes a sa memoire et a la memoire de cette grande aventure qui tirait a sa fin. Aussi elle pensa a son grand frere qui en avait perdu la vie.

-kotaro..., marmonna t'elle

-Aurevoir, Camelot... murmura-t-il.

Guillaume jr disposa et amena Marianne à l'arbre où elle avait dormi. Il s'assit à ses côtés et lui avoua:

-Je n'en crois pas aux paroles du roi de France. Père m'a permis de vous épouser...

Le prince héritier versa une larme, puis une deuxième. Plusieurs autres gouttes ruisselaient sur la joue de Guillaume jr. Il essuya rapidement du revers de la main, comme s'il avait oublié ses manières royales, et rit.

-Je ne sais pas pourquoi je pleure, renchérit-il en riant. Pourtant, ce n'est pas triste ce qui nous arrive.

-Pleurer de joie, c'est normal, ca.

Marianne non plus n'en revenait pas! Elle s'assit a coté de lui et l'embrassa tant elle était heureuse de ce qui se passait!

-Tu te rends compte? On va vivre ensemble pour toujours et en plus je pourrai avoir notre enfant dans un endroit convenable! Je t'aime Guillaume jr...

Il regarda tout le monde et dit:

-Bon, Je crois que c'est la fin. J'ai bien aimer ça etre avec vous

il avais le sourir au visage, mais cette fois si, un sourir de bonheure

-Je vous dit aurevoir et peut-etre même adieu

-Que votre vie sois remplis de plaisir et de bonheure, si un jour, vous voullez me revoir..penser fort a moi, et prononcer mon nom dans un bois, qui sais? peut-etre ne serai-je pas loin

A ses mots, il se leva, il avais les yeux d'un bleu....il avais les yeux bleu azure

-Adieu

puis il s'enfonça dans la fôret

Camelot sourit en voyant Maxime s'occuper ainsi de la petite Danaë. Il prit Amayelle dans ses bras et la déposa délicatement sur le dos de Courage de manière à ce qu'elle ne tombe pas. Il enfourcha son cheval à son tour et partit au petit galop en direction de la capitale de France.