Maison de Bernard

-Oui, oui, Daphné.

Il prit sa hache, un couteau sur la table, et un petit fusil. Et il alla rejoindre Daphné dehors.

Mais, il avait presque oublié son fils. Il fallait l'enterré. Mais où? Bernard amena quand même son fils mort dans ses bras et des outils de l'autres main et sortit rejoindre Daphné

Bernard arriva chez lui et déposa Daphné tranquillement sur le lit de son fils pour pas qu'elle se plaigne de la raideur du «déposage» dans le lit.

Il se rassit sur une chaise non-loin de lui et se reposa un peu.

Avant de tomber sans le sommeil. Avec toutes ces aventures de la journée, il était normal qu'il soit un peu fatigué.

Bernard se réveilla en sursaut et regarda tout de suite si Daphné ne serait pas partie. *Ouf!* Elle n'était pas partie. Le paysan décida alors de partir au marché acheter un peu de nourriture pour la journée avec les quelques petits sous qui lui restait.

Daphné ce réveilla enfin de son long sommeil. Elle ne ce rappelait plus ou elle était.

-Oh! Quel honte d'ammener une princesse dormir dans un endroit aussi pitoyable! Ce n'est pas a moi de faire le ménage! En tout cas.. je peux amélioré la décoration!!!

Elle commenca a décoré la maison, plein de fleur et de coeur et de couleur variant du rose au rouge et au mauve.
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MAS TARDE (LOLL comme camille)
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-AH! Parfait!!!

Elle ce souvint soudain du petit monsieur.....

-C'est vrai!!! J'avais complètement oublier que j'étais dans la maison de ce cher bonhomme. Comment il s'appelait déjà??? Ah oui ce Boris..... Je ne sait pas pourquoi, il était toujours grognon quand je l'appelait par son petit nom, Ah! il ne changera jamais ce cher Benjamin!

Elle ce prépara,digne d'une princesse, avant l'arriver de Bernard.

(HJ: juste pour vous faire une petite idée, Bernard va tomber dans les pommes quand il va voir la transformation extrême de sa maison!!! )

Bernard arriva tard dans l'après-midi en mangeant une carotte même pas lavée. Bernard regardait un peu partout sauf sa maison tout en mangeant.

Arrivé à 500 mètres de chez lui, il vit cet horreur! Premier effet: il s'étouffa. Il prit du temps à arrêter.

-Qui as pu bien changer ma maison!, demanda-il à voix haute entre deux toussotements.

À ce moment, Daphné sortie de la demeure de Bernard.

-Oh! Basil, je vous attendais.....

N'attendant pas que Daphnée finisse sa phrase, il lui cria:

-NE ME DIS PAS QUE C'EST TOI QUI A DÉCORER AVEC SES PETITES FLEU-FLEURS ET CES BOUCLETTES!

Il toucha rapidement aux fleurs roses et mauves.

Par mauvaise chance, Bernard était avec une petite princesse qu'il devra supporté pour un bon bout.

-Pourquoi? Vous ne les aimez pas?

Elle toucha aux fleurs à son tour.

-Pourtant j'ai plus de gout que vous monsieur Barthélémy!

Bernard, trop enragé, commença à enlever toutes les fleurs d'une poignée violente.

-JE VAIS T'EN FAIRE MOI DU GOÛT!

Il continua d'arracher la décoration de sa maison.

-Mais voyons mon cher... ne soyez pas si fâché!

Elle gonfla sa poitrine et lui fit un énorme sourire suivit d'un clin d'oeil à faire tomber les gars par terre.

Bernard se calma un peu. Son clin d'oeil sexy et sa poitrine imposante qui ressortait (on peut l'imaginer comme ça non?) le faisait un peu oublier les décors de sa maison.

Il commença à regarder juste en dessous du visage de Daphné...

Satisafaite de la réaction de Bernard, elle pensa:

*Un peu poilu, mais satisfaisant!*

Elle s'approcha sensuellement du paysan. Elle était maintenat vraiment collée sur lui. Elle fit promener ses doigts sur le torse de »Bernard, tout en approchant de plus en plus sa figure de la sienne. Elle lui flatta la joue barbue et approcha ses lèvres des sienne, mais pensa:

*IEURKH! Il sent l'alcool à plein nez! Ah, et puis, de toute façon, il ne se rappellera plus de rien.*

Elle l'embrassa.

Bernard l'embrassa aussi. C'était si apaisant pour Bernard qui n'avait pas fait ça depuis longtemps...

La paysan agrippa ses mains dans le dos de Daphné et continua de l'embrassa foudroyement.

Elle le poussa dans la maison pour ne pas que les villageois les vois puis commenca à déboutonner sa chemise...

Il continua de l'embrasser, ses lèvres contre les siennes.