Salon du comte

Ayant été immédiatement averti, le comte Charles arriva sur les lieux où les gardes déposèrent le jeune prince héritier.

Arrivé devant lui, le comte s'inclina poliment devant Sa futur Majesté.

-Vous pouvez vous relever comte Charles, dit Guillaume jr, gêné de se faire si bien accueilli après avoir été pris par des gardes.

Le comte l'obéit et alla s'asseoir au canapé juste à côté.

-Je peux savoir qu'est-ce que je fais ici? demanda le prince, étonné de ne pas être derrière des barreaux.

-Vous êtes sous haute surveillance ici au comté de Rouerge. Nous allons envoyer un messager pour avertir votre père de votre présence dans ce comté. Nous nous occuperons de vous comme si vous étiez un poupon jusqu'à ce que votre père se pointe.

-D'accord, dit le prince, un peu «dégoûté» de se faire comparé à un poupon. Donc, pouvez-vous me faire visiter ce merveilleux château pendant que j'y suis?

-Bien sûr. Laurette, faites visiter ce château au futur Roi de France.

Le prince suivit la belle et jeune suivante du comté de Rouerge.

Gabrielle lisait tranquillement un livre pour se sortir de sa nostalgie. Elle était triste que les comédiens aient déjà quitter le château...

Guillaume jr entra en furie. Ses mains ligotés dans son dos, il essayait d'enlever les sales pattes des soldats qui le tenait fermement. Il donna des coup de coudes pour pas qu'il ne le touche. Son père, à ses côtés, lui dit bêtement:

-Quelles sont ces manières, Guillaume?

-Les manières d'un prince ligoté par les gardes de son père.

Il lui cracha sur le soulier. Il le regarda d'un air d'hostilité.

Toute cette haine envers son père commençait à se dégager autour de lui. Lui qui l'avait empêché d'avoir un contact heureux avec Marianne. Lui qui l'avait empêché d'avoir ce qu'il désirait le plus au monde, une femme et une descendance. Ceci l'avait amené jusqu'à maintenant où il avait dû affronter des épreuves autant physiques que psychologiques, bonnes ou mauvaises.

Il se ressaisit. De toute façon, se dit-il, il ne peut pas la tuer par la pendaison ou la guillotine, parce qu'elle est enceinte.

Il continua d'avancer jusqu'au fauteuil qui était tourné vers la fenêtre et qui pivota vers les nouveaux venus.

-Je vois que le prince Guillaume Jr et sa belle dulcinée n'ont pas réussi à s'échapper. C'est dommage, dit-il en esquissant un sourire malicieux au Roi de France. Celui-ci, ignorant sa méchanceté, lui répondit rapidement:

-J'ai besoin de deux chevaux de l'écurie. Dis à tes palefreniers de les préparer avant que mes gardes aillent les chercher.

-Oui, Guillaume 1er. Julien, va prévenir les palefreniers de préparer deux chevaux à l'intention du roi de France.

Son domestique partit rapidement.

-Alors, quelle sera la somme?

Guilaume jr, stupéfait que son père ait «marchandé» pour lui et Marianne, le surprit de cette acte. Encore une autre raison de le haïr.

Le roi de France fit signe à un de ses soldats de jeter sur le bureau un sac rempli de monnaie.

-Seulement 1000 francs?rouspéta le comte de Rouerge en constatant le poids léger qui venait de lui donner. Il reprit d'un ton suppliant:

-J'ai en plus retrouver sa dulcinée et ses autres compagnons de théâtre...

Guillaume 1er, exaspéré, fit de nouveau signe au soldat de lancer un autre petit sac au comte. Le comte de Rouerge, fier de son coup, rangea tout de suite la monnaie dans le bureau situé devant lui. Il prêta même attention de barrer à clé le tiroir contenant l'argent gagné.

-Vous pouvez disposer... finit-il par dire.

-Alors où sont les autres compagnons de théâtre, comme vous dites? demanda le roi.

-Ils sont à quelque part... dit-il tout à coup insûr. Il regarda un peu sur son bureau,balayant avec sa main la poussière qui y reposait.

-TROUVEZ-LES! cria-t-il en donnant un coup de poing sur le bureau.

Le prince de Paris fit le saut. Alors, son père voulait également ses amis. Pourquoi faire? Son père sortit du salon laissant le comte de Rouerge dans de beaux draps. Celui-ci ordonna à ses gardes et domestiques de retrouver les acteurs.

-Ils doivent encore traîner dans le château ou à l'intérieur des murs!

À SUIVRE...

Une cohorte de soldats armés traversa le couloir en direction du salon du château. Ils étaient 5 à escorter un prisonnier, qui était en fait Camelot. Parfois, le chevalier errant avait de la difficulté à suivre le pas très rapide de son escorte, puisque le duel contre le palfrenier l'avait beaucoup épuisé. Ce vaurien de garçon d'écurie lui avait fendu la lèvre, mais Camelot avait infligé d'avantage de blessures à son assaillant. Avant d'être amené par les gardes, Camelot avait remarqué que cette crapule arrivait à peine à se tenir sur ses deux jambes.

*Il l'a cherché et l'a bien mérité* songea-t-il.

Il espérait que Courage avait réussi à s'enfuir avant que les autres palfreniers de l'écurie ne le rattrape.

Camelot ralenti la cadence, fatigué de suivre le pas pressé des soldats. Aussitôt, l'un d'eux le poussa rudemment vers l'avant pour le forcer à avancer. Le chevalier captif soupira d'agacement et continua la marche.

Tout à coup, il vit une porte s'ouvrir à la volée au bout du couloir. Intrigué, il essaya de savoir de qui il s'agissait. Immédiatement, Camelot baissa la tête et regarda le sol en s'apercevant que la personne qui sortait du salon était en fait le roi de France! Le chevalier espérait de tout coeur que le suzerain ne le reconnaîsse pas et qu'aucun de ses amis avaient des ennuis.

Sayll traversa le couloir, il vit sur le plancher quelques goutes de sang, il constata qu'il les suivait. Il se demanda de qui provenai se sang, l'odeur devenai insuportable pour Sayll. Quand il arriva a destination, il vit Camelot tête baisser devant le roi de france

*Je crois que sa va mal*

Intrigué, Guillaume 1er regarda les gardes amener un jeune homme.

-Qu'avons-nous ici? remarqua le roi de France. Arrêtez, messieurs.

Il prit le menton de Camelot et leva vers lui.

-Mais que vois-je? dit-il, se moquant de Camelot. Un jeune homme crasseux, saignant de la lèvre, qui est amené en prison. Il rit gras, content d'avoir trouver si facilement un des traîtres qui avait aidé son fils et sa fille à l'échappement.

Il se retourna vers les gardes et leur ordonna:

-Laissez cet homme à mes côtés. Je m'en occuperai.

La voix soudainement enragé, il commanda au chevalier errant:

-Toi, tu rentres ici et tu n'en sors pas.

Il lâcha sèchement le menton de Camelot et lui pointa la pièce où Marianne, Guillaume jr et Anna attendaient.

Anna était dépassée par les événements. Comment son père? L'homme qui l'avait élevé pouvait être aussi cruel avec des gens? Elle pleurra amèrement. Elle était à`songer à`cet homme cruel qui avait son destin entre ses mains et aussi celui de temps de gens en qui il ne voyait pas la souffrance. La princesse poussa le garde qui l'empechait d,aller vers son père. Elle était furieuse et si mal en meme temps.

-Père, n'avez vous donc aucune pitié? Regardez ces gens! Vous voyez bien qu'ils n'ont rien à`se reprocher!

Elle lui donna un coup de pied dans les thibiats et celui-ci grimaca de douleur.

-Ca suffit!! VOUS N'AVEZ PAS LE DROIT DE TRAITEZ DES GENS AINSI! NI D'AILLEURS VOTRE FILS! IL A TROUVER LA JOIE LOIN DE VOUS ET C'EST CE QUI VOUS RENDS MALADES ET NOUS LE SAVON TOUS TRÈS BIEN! rèndez-vous donc à`l'évidence! Guillaume jr. ne deviendra pas roi de votre grand empire! Il a un coeur trop libre et trop bon pour etre un sanguinaire roi pitoyable et sans pitié tel que vous l'etes! Vous devez laisser partir ces pauvrees gens, ils n'ont rien fait de mal.

Elle regarda son père , ce grand homme puissant qui faisait trembler tant de gens, mais qui pour elle ne la surprenait plus. Elle avait la tete haute et le regardait dans les yeux d'un air de défi.

Camelot soutenu le regard féroce du roi. Il songea qu'Amayelle, Maxime et Danaë n'avait pas encore été trouvées. Il en allait sûrement de même pour Shinda, Marie-Rose et Kotaro. Il décida de les protéger:

-Majesté, répliqua Camelot poliment, il n'y a personne d'autres mis à part nous cinq. Les autres qui nous accompagnaient nous ont déjà faussé compagnie. Si je ne me trompe, ils sont repartis en direction de Gévaudan. Vous ne trouverez aucun «félon» dans l'enceinte du château.

Gabrielle quitta la salle car elle commençait à se sentir de trop dans cette salle. Elle s'en alla donc dans le jardin pour aller se changer un peu les idées. Elle quitta la pièce sans que personne ne s'en apperçoive.

Marianne pleurait à chaudes larmes. Elle n'en pouvait plus de toute cette haine. Elle alla vers Guillaume jr pour avoir un peu de récoonfort. Elle ne s'attendait pas à ce que le roi soit aussi méchant avec ses porpres enfants. Malgré les larmes qui coulait sur ses joues, elle réussit a demander:

-Pour ne pas nous laisser libres? Pourquoi?

Guillaume jr laissa faire Anna, qui était enragée noire. Cela ne servait à rien, car il savait que son père avait une tête de cochon, d'ailleurs comme sa soeur.

Il décida néanmoins de s'asseoir sur une des chaises dans le salon. Le garde le regarda du coin de l'oeil jusqu'à ce qu'il soit assis ne pouvait créer aucun problème.

Quant au roi de France, il se retourna vers Anna et lui répondit:

-Comme si tu pouvais me faire peur, chère fille. Tu ne peux plus te libérer. On retournes au château dès qu'on aura retrouvé les autres compagnons à toi et à ton frère.

Il s'adressa ensuite à Camelot, après avoir entendu ses paroles désolantes:

-Nous allons les retrouver quand même. Ils ne doivent pas être bien loin d'ici, car vous venez de présenter une pièce de théâtre devant le comte il n'y a pas longtemps. Ils doivent donc être encore dans le château ou près des murailles, sale vermine!

Et il lui donna une bonne claque sur le visage.

-Ceci est pour ton insolence envers Sa Majesté. Un chevalier errant comme vous devrait être tout de suite mis à mort par la pendaison.

Tout le monde savait qu'un chevalier errant n'était pas très bien vu par le peuple et les haut placés. Ils étaient pour la plupart généreux en prodiguant leur soins aux pauvres des villages du comté. Ils étaient récompensés par un remerciement qui leur suffisait. Parfois, les familles qui s'en sortent mieux leur donnent à manger.

Le visage ensanglanté de son ami vint chercher de très près le prince de Paris. Pendant que le garde était distrait, il lui fit une jambette le faisant tomber à terre. Rapidement, il se leva et se rua sur son père.

-Espèce de sans-coeur! Tu ne vois pas qu'il est déjà assez amoché!

Son père lui souriait méchamment. Il dona une autre claque à Camelot. Son visage était tout sanguilonent avec ses plaies déjà ouvertes par avant. Il le vit tomber à terre, inconscient.

-NOOOONNN!

Malheureusement, Guillaume jr ne put se rendre à son père, car un soldat lui bloqua la sortie de la pièce.

(tu trouves pas t'exageres un peu la?)

- Mon fils! Les truants doivent etre punis comme il se doit! et tu le sais tres bien.

Il se retourna vers sa famille.

-Ma fille vous parlez trop haut! Jamais je n,aurais du laisser vos freres vous montrer a vous battre... En rentrant vous irez tisser!

il regarda ses soldats.

-qu'attendez-vous? Allez chercher ses laches, ses malotrus. ET QUE CA SAUTE!

les gardes se leverent d'un bond et quitterent la piece. bien sure, quelques un resterent veillez et aider le roi.

Le roi regarda le jeune homme par terre en souriant.

-vous ne perdez rien pour attendre, canaille... Un haut roi ne se laisse pas dûper ainsi!!

-ahahaha!!!!

il riait d'un rire grave et puissant. Celui de l'homme le plus puissant et le plus sans pitié du royaume.

Sayll qui garda un calme dit :

-Sa vous apporte quoi de le frapper, vous y prener plaisir a frapper Quelqu'un dans ce moment, vous savez très bien qu'il ne ripostera pas parce qu'il est dans une situation inconfortable, Je trouve ça lache.

Camelot commença à reprendre peu à peu ses esprits. Ces coups l'avaient vraiment assomés! Il avait la tête qui lui tournait effroyablement et une douleur lui cisaillait le visage. Le chevalier remarqua qu'il saignait en quelque part dans la figure, mais se dit que ce ne devait pas être si pire que cela... Il voulut s'essuyer le visage du revers de sa manche, mais se souvint qu'il avait les mains ligotées. Tous ses souvenirs lui revenaient à présent:le palfrenier qui avait battu Courage, le roi qui était présent dans le château, les violents coups que le suzerain lui avait infligé, Guilaume junior furieux...
Camelot resta allongé au sol, incapable de se relever. Les gardes se chargèrent de le soulever rudement pour le remettre sur pieds. Le chevalier errant chancela et les soldats durent le soutenir pour le garder debout. Ils le traînèrent vers le salon et rendu au seuil de la porte, l'un d'eux le prit par les jambes pour ensuite le lancer dans la pièce. Camelot atterrit sur le sol et laissa échapper une plainte de douleur entre ses dents sous le choc.

-PAS QUESTION QUE JE FASSES TU TISSAGE!!!! VOUS N'ÊTES QU'UN HOMME CRUEL!!! IL EST BIEN QUE J,AIE APPRIS À ME BATTRE! AINSI, JE POURRAI ME DÉFENDRE CONTRE LES HOMMES COMME VOUS, DIT-ELLE EN LE POINTANT DU DOIGHT.

Elle était vraiment en furie, elle poussa les gardes qui l'empechaient d'aller vers son père et commenca à le ruer de coups.Apres un moment, lorsqu'elle vit le visage baigné de sang de son père, elle se rendit compte de ce qu'elle venait de faire. Elle s'écarta dans le fond de la pièce, une main devant la bouche.

Camelot se redressa péniblement et s'assit par terre, le dos accoté sur la façade du divan pour ne pas tomber par en arrière. Il ferma les yeux pour se concentrer sur chacun de ses muscles endoloris pour les détendre et pour avoir une respiration plus calme. Quand il entendit les hurlements d'Anna, il rouvrit les yeux et l'aperçut battre son père. Il fut surpris de voir la princesse aussi en furie et... violente. Il resta neutre, mais il espérait qu'Anna ne s'attire pas plus d'ennuis qu'elle en avait déjà.
Il aurait beaucoup aimer discuter avec son ami Guillaume junior, mais il se dit que ce n'était vraiment pas le moment. De plus, il ne désirait pas recevoir une autre correction pour avoir adressé la parole au prince héritier de Paris.

Le roi fut étonnée du comportement de sa fille. Il se leva, essuya le sang de son visage d'un trait et alla rejoindre son inpertinente fille.
Il la giffla. la main du roi s'étampa sur la joue de la prinjcesse.

-Anna!!! Je suis vraiment décu de votre comportement. Si je ne vous aimerait pas tant, je vous ferait fouetter! Je crois qu'il est grand temps que vous vous mariez! Dès notre retour au chateau je vous trouverai un mari, aussi solide que possible pour vous faire apprendre ou est la place d'une femme!,aussi noble soit elle.

Il la giffla de nouveau et attendit sa reaction en regardant autour de lui tous ses truants.

-quant a vous mon fils, je vous promet de prendre bien soin de votre bien-aimé. Je ferai venir votre fiancé et vous serez marié avant que quiquonc ait le temps de dire trone! J'en ai assez de tous vos enfantillages! j'en ai marre de m'occuper de gosses comme vous. Des mon retour je vous ferai marier tous les 5!

(il ne savait pas que son troisieme fils était dans sa tombe et que Marianne était enceinte.)

Guillaume jr serra les poings en entendant ces paroles subites. Il regarda l'endroit où Marianne était pour la regarder et échanger des regards désolants, mais elle n'y était plus. Il regarda furtivement et discrètement dans la pièce pour être certain qu'elle n'avait disparue avec les gardes. Il eut de la chance, car elle se retrouvait à la sortie du salon du comte.

Malheureusement, il ne pouvait la rappeler sinon elle se fera repérer. Il voyait bien qu'elle voulait trouver un moyen pour les sortir du pétrin, mais le prince héritier était sûr du coup qu'ils ne s'en sortiront pas. Il se contenta donc de regarder son père en ayant la plus fière allure d'un pièce héritier. Il ne voulait quand même pas abandonner leur vie futurs ensemble.

-Ainsi soit-il, père. Nos actes sont allés à l'encontre de ce que des gens royaux, comme nous, devons faire. Si vous nous marier tout de suite, nous pourrons replacer nos idées et vivre une vie plus normale à vos côtés. De plus, avant de prendre la fuite, j'ai pu rencontré la belle Daphné et je la trouvais tout à fait à mon goût. Malheureusement, il me faudra une nouvelle fiancée, car elle s'est fait tué par un cheval devant mes yeux. Je crois que la fille du comte de Rouerge est tout à fait resplendissante. Qu'en dites-vous?

Guillaume jr espérait que cette autre conversation allait aider Marianne à sortir du château et retrouver Maxime, Danaë, Amayellle ou quelqu'un d'autre qui leur seront d'une bonne aide.

Marianne resta surprise un long moment de ce qu'avait dit le roi! Son amour se marier avec quelqu'un d'autre? Elle essaya de croiser le regard de Guillaume jr mais celui ci grdait les yauez fixé sur son pere. Mais ce qui lui fit le plus de peine c'est que Guillaume jr navait rien dit a lencontre de ce que son pere avait dit, il lavait meme accepter!

* Il doit avoir ses raisons*

Mais elle était quand meme tres inquiete. elle réussit a sortir de la piece sans etre vu elle voulait tenter le tout pour le tout.

Camelot eut un sourire moqueur en se rappelant de Daphnée, la folle qui voulait marier Guillaume junior. Qui pourrait la trouver à son goût?
En entendant les paroles de Guillaume junior, Camelot se dit que soit il avait perdu la boule ou bien il avait une idée derrière la tête. Il se convaint que la deuxième option était plus probable vut l'amour inconditionnel que Guillaume éprouvait à l'égard de Marianne. Il se contenta de vérifier si Marianne avait réussi à sortir saine et sauf, en tout cas, pour le moment.

anna regarda son frere, completement bouche bée, elle n'avait pas du tout compris au depart que c'était pur tactique.

- mais qu'est ce qui t'arrive Guillaume? Es-tu devenu fou? j,ai peine a croire que ces mots puissent sortir de ta bouche!

Elle regarda ensuite son père qui regardait son fils en souriant.

*** guillaume haut roi***

- mon fils je suis finalement fier de vous par vos paroles. Vous me démontrer que vous seriez un merveilleux roi de France, malgré vos erreurs de jeunesse. bravo! je vous tire ma reverance.

Camelot, ayant suivi la conversation de près, (il n'avait pas vraiment le choix puisqu'il était dans la même pièce qu'eux!), se leva et se dirigea prudemment vers la famille royale, sous les yeux méfiants des soldats prêts à tout s'il se passait quelque chose de grave. Le chevalier errant se pencha poliment et prit la parole:

-En effet Messirs Guillaume Junior, vous feriez un excellent seigneur. Bon, maintenant que tout rentre dans l'ordre, ne pourrions-nous pas tous retourner chez nous fêter ce grand évènement? se risqua-t-il, voyant que le roi avait l'air de meilleure humeur.