Dans le jardin, de l'autre côté du rempart

Gabrielle était en train de peindre le paysage fleuri de son jardin. Elle chantonnait un air mélodieux tout en peignant les marguerites et les buissons garnis. Sa voix était si douce et harmonieuse...

Elle ne se doutait pas que dans le château se trouvait le futur héritier du trône, ni qu'une troupe de voyageurs essayait de passer la muraille...

Gabrielle arrêta brusquement de chantoner, elle avait sursauter par le bruit du vase qui était tomber au sol.

*Mais qui a bien pu faire tomber se vase, il ne vient tout de même pas du ciel*

Elle suivit du regard, comme une ligne imaginaire, d'où aurait pu tomber l'objet. Elle laissa tomber son pinceau par terre, car son regard s'arrêta sur le jeune homme qui était accoter sur le bord du balcon et qui la regardait. Elle rougit un peu puis une chaleur vint en elle, son coeur brulait. La dernière fois que Gabrielle avait ressentit ça, c'était quand elle avait rencontrer, la semaine passé, le superbe garçon qui passait tout les matins devant le pont-levis et qui lui faisait un sourire qui lui coupait le souffle. Mais maintenant, elle trouvait encore plus splendide l'homme qui la regardait d'en haut , guillaume jr.

*Ho, comme il est beau* se dit-elle *Je dois aller le voir, peut-être est-il mon beau prince charmant!*

Elle traversa le jardin puis se précipita à l'intérieur du château.

Marianne regarda les fenetres du chateau en espérant trouver Guillaume jr parmis ceux-ci. Elle se souvenait que Camelot avait vu Guillaume jr a l'une des fenetres. Elle finit par le voir mais lui ne put la voir car il regardait a l'interieur de la piece.

-Regarde Sayll... Guillaume jr est la, sur le balcon!

-a bien oui!!!!mais il ne doit pas etre seul...

Sayll regarda ensuite dans la direction de camelot et vit danae sauter

-une chance que Camelot est la pour la ratraper

Marianne se retourna vers l'endroit ou était les autres.

-Oui une chance...

Elle regarda Guillaume jr avec un peu d'inquiétude. Si au moins il pouvait la voir! Elle poussa un soupir de découragement. Elle ne savait pas quand ils pourraient enfin s'installer mais d'un autre coté elle aimait bien cet aventure et se plaisait a prendre des risques. Une chance, elle n'était jamais seule. Depuis qu'elle était tombé enceinte, elle sentait une présence en elle et elle ne se sentait pas seule, ce qui la réconfortait énormement.

-Je me demande ce que Anna et Jaku font

Sayll regarda Mariane et dit

-On fait quoi?

-Je ne sais pas... On peut peut-être aller explorer les alentours avant que les autre n'arrivent. pour bien connaitre les lieux. Cela nous aidera peut-être pour le plan que nous prévoyons faire...

Amayelle atterit et s'éssuya un peu. Elle obéit à Camelot et pressa Danae pour aller se cacher dans les buissons. Danae y alla un peu surprise.

Gabrielle arriva dans le jardin, vraiment frustrée. Elle n'avait pas l'intention de se remettre à peindre. Oh, non! Elle ne ferait pas se plaisir d'obéir à son père! Elle s'assit et croisa les bars. Soudain, elle vir quelqu'un qui essayait de passer le rempart. Paniquée et ne sachant trop quoi faire, elle l'apostropha:

-Hey, Vous, qu'est -ce que vous faites là?!

Prise par surpirse, la personne qui venait d'enjamber le rempart tomba de la muraille et atterit dans les buissons. Gabrielle resta sur place et lui dit:

-Montrez-vous et ne faites aucun geste brusque, car sinon, je me mets à crier et des soldats viendront à mon secours!

Sayll vit que quelqu'un avais découvert ce qui se passai...il s'aprocha tel une ombre et la s'aisit(mal écrit je sais) en lui mettan la main sur la bouche pour lui empecher de crié. Il la l'ammena dans les buisons la où les grades ne pouvaient la voir.

-Chut!!!!nous ne sommes pas méchant, nous ne te voulons aucun mal, nous sommes juste venu aider notre ami et meme si vous essailer de me mordre la main, j'ai l'habitude de me faire mordre par des loups, on ne vous fera aucun mal

Marianne suivit Sayll et la jeune fille. Elle lui dit pour la mettre en confiance :

-Ne t'inquiètes pas tu peux lui faire confiance. Il n'est pas du genre à vouloir du mal aux autres.

Gabrielle était surprise au début, mais là, elle était vraiment frustrée de s'être faite prendre de la sorte. Elle plia le bras et dans un geste sec et fort, elle frappa son «enleveur» là où vous le pensez... Pendant le court moment que Sayll eut le souffle coupé, elle se défit de sa poigne et le gifla de plein fouet.

-Espèce de malappris!

Elle recula vers le milieu du jardin. Elle n'osa pas encore appeler les soldats, n'étant plus sûre de ce qu'elle devait faire.

Nous avons des armes mais ce n'est que pour le thâtre! Nous ne sommes pas dangereux... c'est juste que vous nous avez découverts et que nous voulions faire une surprise au roi pour le souper.

Maxime se leva des buissons puis leva les bras au dessus de sa tête pour lui montreer qu'il était inofanciffe.

*Aie sa fait mal....mais elle est folle*

Sayll ne put s'empecher d'esquiser un sourir....

-sa fait mal dit-il.....

*La prochaine fois j'assomerai*

-Vous dites que vous êtes une troupe de théâtre, demanda-t-elle d'un air intéressé.
Gabrielle adorait le théâtre. Elle trouvait cela tellement un bel art inspirant. Puis, elle reprit ses esprits et ajouta d'un ton méfiant:

-Qu'est-ce qui me prouve que vous êtes de vrais comédiens et non des fourbes qui veulent pénétrer dans le château pour commettre un acte illégal?

Maxime, comme réflexe, sortit la première chose qui lui vint en tête. Il fit un clin d'oeil à Camelot qui était toujours caché dans les buissons et approcha de la princesse lentement.

-Malgré que vous ayez endommagé un de nos comédiens mademoiselle, nous allons vous faire une priorité, car nous allons vous jouez ce que nous jouons le mieux, les tragi-comédies...

Il s'avança vers la princesse.

-Oh, ma douce princesse, je vous sauverez de ce fou!

Max pointa Camelot du doigt.

-Si je meurs, montez mon cheval et partez le plus loin que vous pouvez.

Le jeune homme sortit son épée et dit à Camelot:

-Arrière ennemis!

Camelot comprit où Maxime voulait en venir et embarqua dans son jeu. Subitment, il sortit des buissons et déguaina son épée. Il se mit en position de combat, prit un air méchant et dit d'un ton théâtrale:

-Personne ne touchera à ma prisonnière, elle est à moi! En garde, pittoresque chevalier!

Les deux combattants s'approchèrent en se regardant dans les yeux. Ils s'immobilisèrent attendant qui attaquerait le premier. Camelot se dit qu'étant donné qu'il était le méchant, il devrait y aller en premier. Il s'élança donc, son épée fendant l'air. Maxime bloqua le coup et ils commencèrent le duel. Après un court moment, Camelot fit un signe discret que seul Maxime pouvait comprendre. D'un geste dramatique exagéré, Maxime entra son épée entre le bras et la poitrine de Camelot.

-Aahh, je suis tué! (Hj: , comme dans Hamlet!)

Et il s'écroula par terre, se retenant de ne pas pouffer de rire.

Maxime renguaina son épée et se retourna vers Gabrielle. Il lui fit la révérance et la prit dans ses bras comme une mariée:

-Vous êtes saine et sauve. Maintenant que le danger est écarté, partons ensemble vers une contrée plus prospère.

Gabrielle eut un petit rire à la mort du malfaisant. Ils n'étaient pas si mal! Elle entra dans le jeu à son tour, passionnée du théâtre. Elle mit ses bras autour du cou de son sauveur et lui dit:

-Oh, mon preux chevalier, vous m'avez sauvé! Partout où vous irez, je vous suivrez, là où nous pourrons vivre heureux pour le reste de nos jours, mon Amour.

Maxime la redéposa par terre et Gabrielle applaudit:

-D'accord, je suis convaincue! dit-elle en souriant. Je suis vraiment désolé, monsieur, rajouta-t-elle en parlant de Sayll. Si vous voulez jouer pendant le souper de ce soir, je ne crois pas qu'il y ait de problèmes. De plus, ce serait un beau cadeau pour notre invité de luxe. Un de vous devrait me suivre au château pour en avertir mon père. Le reste du groupe pourra rester ici, au jardin. Vous n'aurez plus besoin de vous cacher, puisque je vous donne la permission! Quel est votre nom? demanda-t-elle à Maxime.

(j'ai la permission de Maxime)

-Mmmmm... Monsieur Christobald Deblois, pour vous servir.

-Parfait, Monsieur Deblois, voudriez-vous rencontrer mon père pour lui avertir de votre visite?


-Avec plaisir. Mademoiselle, je vous suis.

-Je vous en pris, appelez-moi Gabielle. Bon, alors allons-y!

Elle se dirigea une seconde fois vers le château en prenant la main de Maxime pour qu'il la suive.

Marianne se rapprocha de Sayll et de Camelot

-Je crois que nous devrions changer nos noms nous aussi pour plus de sécurité. Sayll, on peut garder les noms que je nous ai donnai, ce serait peut-être plus crédible... Quant à toi Camelot je ne sais vraiment pas comment tu pourrais t'appeler...

-Ouais c'est une bonne idée

toujours en tendent la main a camelot il sifla et jaku arriva sur le champ en passent inapersu....

-si on n'a pas besoin de nous chacher....autan qu'il reste avec nous, on sais jamais