Pont

Gabrielle arriva dans le jardin et s'assura que personne n'y était. Son regard s'arrêta soudain sur Maxime qui était tout seul au loin assis sur une roche. Elle sourit en voyant ce jeune homme qui lui était familier. Son coeur battait à toute vitesse au fur et à mesure qu'elle avançait vers Max. Gabrielle s'arrêta soudainement en arrière de Maxime, ne sachant trop si elle devait le déranger ou pas. Elle hésita pendant un court instant puis elle lui tapa délicatement sur l'épaule, comme le ferait toute princesse.

Maxime fit le saut et déguaina son épée en se retournant. Il fit volte-face et s'attendait à attaquer un garde mais au lieu de ça, il découvrit la princesse un peu apeurée par sa conduite. Max rengea son épée et s'excusa auprès de la princesse.

-Excusez-moi princesse Gabrielle, c'est que vous m'avez fait un peu peur. Au fait auriez-vous vu ou croisé quelques acteurs du théâtre?

La princesse se calma un peu quand Max rengea son épée.

-Oh oui mais ils avaient l'air d'avoir quelques problèmes avec le Roi de France Guillaume Premier du nom. Il s se trouvaient dans le château, dans le salon de mon père, le compte.

-Qui étaient-là?

-Ah....Euhm.. Celui qui jouait le paysan et celle qui jouait l'amie de la princesse dans la pièce de théâtre ainsi que le prince de France Guillaume Junior lui même et sa soeur, Anna je crois.

-Ah, mais qu'est-ce qu'ils ont encore fait pour se mettre dans le trouble ceux-là? Qu'est-ceq ue je pourrais faire pour les aider? dit-il d'une voix songeuse.

Maxime vit des gardes arriver au loin. Il prit la princesse par le bras et l'entraîna dans les buissons. Avant qu'elle ne lui pose une question, il lui fit signe de se taire poliment. Il lui répondit à voix basse:

-Si ces gardes nous trouvent, mes amis et moi, nous serons tous condamnés. Nous ne sommes pas des assassins, s'empressa-t-il d'ajouter pour la rassurer, mais disons que nous n'avons pas obéit aux lois du Roi de France. Rien de plus.

Maxime se tut aussitôt et vit une ombre avec une longue épée pointée vers le haut qui s'en allait tranché le buisson en deux, en même temps que de couper les deux jeunes gens qui s'y trouvait.

-ATTENTION!

Il poussa Gabrielle au sol pour ne pas qu'elle se blesse. Il se retrouva donc par-dessus elle. (Quelle fâcheuse position...) Quand les quatre gardes découvrirent le jeune homme couché sur la princesse, l'un d'eux s'écria:

-Sal vaurien!

Tout le monde savait qu'il était interdit de faire quoique ce soit avant le mariage, et avec la Princesse en plus! C'était considéré comme un crime. L'un des gardes empoigna Max par les épaules et le plaqua sur la muraille. Maxime avait les mains dans le dos alors les gardes le les lui liguota avec une corde de sorte à ce qu'il ne puisse pas les utiliser pour se défendre. Malheureusement pour les gardes, Maxime est plus intelligent qu'eux alors dès que les gardes l'eurent lâché, le jeune homme déquaina un couteau qui était dans sa poche arrière de son pantalon et se retourna d'un bond pour planter son poignard dans le mur et couper ler cordes en les passant dessus le couteau. (comme dans pirates des caraïbes loll) Les gardes un peu surpris que le hors la loi défasse aussi facilement ses liens n'eurent pas le temps de réagir et Maxime se rua sur le premier guarde à coups de poing. Les compagnons de se dernier se dirigèrent vers Maxime pour se défendre à leur tour. Le jeune garçons donna un coup de pied là où sa fait mal dans le deuxième gars qui s'écroula par terre. Max déguaina son épée tandis que les deux autres firent de même et que le premier se relevait avec difficulté immitant ses coéquipiers. Un conbat à l'épée débuta. Maintenant, les quatre gardes étaient sur pied se qui donnait un combat à quatre contre un. Les bruits des épées qui s'entrent choquaient se faisait entendre.

-Mais lâchez-le! Laissez-le tranquille, ordre de votre princesse!

Gabrielle s'élança dans le dos d'un des gardes. Celui-ci voulu se dégager et d'un geste brusque tassa la princesse qui fut projetée sur le sol.

-Gabrielle!

Ce court moment où Maxime fut déconcentré le désavantagea, car cela donna une idée à l'un des soldats et il fit de même que la princesse. Il s'élança dans le dos de Maxime. Le chevalier se débattit pour retirer l'homme qui s'était accroché à lui, mais un second garde vint aider son compagnon. Sous le poids de ses deux hommes assez gros et costauds, Max s'écroula, pas assez fort pour supporter une aussi lourde charge. Pendant qu'un soldat lui ligotait les mains, deux gardes mirent leurs épées en forme de «X» au-dessus du cou de Maxime. Finalement, le dernier des hommes resta sur le prisonnier pour être sûr qu'il ne s'échappe pas de nouveau. Max essaya de se relever, mais sentit les lames tranchantes de chaque côté de sa nuque, alors il décida de se tenir tranquille. Les gardes relevèrent leur prise et pour s'assurer qu'il ne déguerpisse, l'un d'eux pris un bâton qui traînait sur le sol. Il frappa durement Maxime derrière ses genoux, ce qui lui obligea de fléchir les genoux et lui donna ensuite un directe dans le ventre. Sous le choc, Maxime se recroquevilla et 2 gardes le soulevèrent pour ne plus que ses pieds touchent le sol. Ils se dirigèrent vers le bureau du conte.

Marianne avait décidé de sen aller vers le pont. Elle se cacha dans les buissons mais trébucha sur quelque chose. Elle regarda et se rendit comte que s'était la princesse. Elle se rapprocha.

-Est-ce que sa va princesse?

Gabrielle tourna la tête vers la personne qui lui adressait la parole. Les yeux de la princesse étaient eux aussi en larmes. Même si elle pleurait, elle esquissa un sourire quand elle reconnut Marianne:

-Ah, c'est vous. Oui, oui, ça va... en tout cas, moi ça va. Christobald Deblois a été emmené ainsi que deux comédiens, le prince et la princesse... Il me semblait que vous aussi y étiez, non? enchaîna-t-elle.

Gabrielle s'assit par terre en restant cachée pour ne pas attiré le regard de quelqu'un. Elle posa son regard inquiet sur Marianne:

-Qu'est-ce qui se passe? Je ne comprends rien à toute cette histoire! Je ne veux pas vous dénoncer, car je vous aime bien, mais je ne sais même qui est de quel côté. Êtes-vous des criminels?

Amayelle acourut vers eux.
Elle vit que Gabrielle était en larmes, elle se demandait pourqoi elle pleurait.

-Qui a t-il princesse Gabrielle? demanda t'elle

Elle fit un regard interrogateur à Marianne qui elle aussi était en larmes.

-Le roi de France est au château et vos amis sont enfermés dans le salon, tous ligotés... Je ne comprends plus rien! Comment savoir qui sont les bons ou les mauvais? Vous êtes très gentils, mais le roi de France n'a pas l'air de cet avis... Je ne sais plus qui croire, ajouta-t-elle en chuchotant.

-Ou est Camelot ?! .dit-elle en se tournant vers Marianne, inquiète

Amayelle c'était endormie dans les buissons derrière elle avit eue un coup de fatigue..
Donc elle n'avait rien vue.

-Camelot c'est fait prendre?!!

Marianne essuya ses larmes et répondit ou essaya de répondre a Amayelle :

-Non... non

Elle entendit les pas des personnes dans la cour. Elle se cacha et baissa les autres pour ne pas qu'ils soient vu. Elle regarda Amayelle et pointa du doigts les capturés qui défilaient dans la cour. Elle se retourna vers la princesse.

-Nous ne sommes pas des criminels, nous voulons une certaine liberté, c'est tout. Nous en avons parler au roi mais il na po voulu, alors nous avons pris les grands moyens en s'enfuyant. Et il nous a retrouver et nous condammera certainement...

-Non....

Amayelle allait ce précipiter sur les prisoniers, mais une main l'avait attrapper, pour ensuite la projeter au sol.
Marianne la regardais avec de gros yeux pour lui dire qu'elle aussi ce ferait prendre..
Amayelle ravala ses larmes puis elle demanda a Marianne :

-Qui reste t'il de notre groupe qui ne se soit pas fait prendre..
Si il en reste beaucoup nous pourrions s'organiser pour les sauvers,
camelot. elle chuchota son dernier mot une main sur son coeur

Camelot commençait à en avoir ras le bol de se faire bousculer. Il se retourna et avertit son escorte:

-Hey, ça va! Je sais marcher seul, merci! Où est-ce que nous allons au juste, Messirs Guillaume Junior?

Ça lui faisait toujours drôle de nommer son ami de cette manière, mais au point où ils en étaient rendus, pas question de faire le fanfaron.
Un peu contrarié de l'avertissement de son propre prisonnier, le soldat poussa brusquement le chevalier dans le dos avec son pied. Camelot fut projeter sur le sol, n'ayant pas prévu ce coup bas de la part du garde. Il n'était pas blessé... seulement à son orgueil de gars. Deux gardiens empoignèrent sauvagement le chevalier par les épaulettes de son chandail pour le relever.

-Je ne sais plus exactement combien il en reste, mais nous devrons etre discrete car nous ne devons pas nous faire prendre a notre tour. Nous pouvons aussi aller un peu plus loin le temps de se reposer un peu car je suis épuisée. Ce bébé medemande beaucoup d'énergie!

Elle se mit immédiatement la main sur la bouche, regrettant ce qu'elle venait de dire. Elle n'avait pas pensé que la princesse n'était pas au courant! Elle se retourna vers elle.

-Oh! Ne le dites à personne svp...

Elle se sentait mal de l'avoir dit...

-Nous allons festoyer au royaume de Paris!

Malheureusement, les jeunes femmes étaient sur leurs chemins. Le roi, accompagné plusieurs soldats, reconnurent Marianne, Amayelle et tous les autres qui était à leurs côtés. Ils furent amener avec les autres laissant Gabrielle derrière, tandis que Guillaume jr regardait cette scène triste.

Il venait de réaliser quelque chose en voyant tous ses amis se faire ligoter: son père allait les prendre. Il conseilla rapidement à son père:

-Faites, attention à celle-ci. Elle est enceinte.

Mais ceci n'allait pas arranger les choses en remarquant que le festin serait desservi par la guillotine. Comment allait-il les sortir de là? Il avait besoin de l'aide de son cher ami Kotaro. Mais où se trouvait-il?

Il se questionnait tout en marchant vers son comté natal. Tous ses amis, Camelot, Amayelle, Danaë et Maxime, sa soeur Anna et sa douce-moitié Marianne allait tous recevoir des réprimandes très sévères connaissant son père.

(comté de normandie rapido-presto)

Sayll regarda les autres se faire prendrent et se faire ligoter

il se questiona
*mais où est Jaku, en quoi ai-je a voir la dedans, je ne connais personne sauf anna*

puis il reprit ses esprit

*c'est peut-être le fait que je veux une vie plus libre en compagnie de nouvelles personnes, et si je fini a la guillotine, sa sera la mon dernier soupir, mourrir par une lame, N'est-ce pas ce que j'ai toujours voullu? Non, je ne peux pas mourrir maintenent, j'ai pas fini ma vie ici, il me reste des trucs a voir*

puis en continuant la marche, il baissa les yeux au sol et avais un air désamparé


*Si je meure Ici, qui prendra soin de Jaku*

Une larme coullai au coin de son oeil, et sans relever la tête, il continua son chemin

Marianne se fit prendre avec les autres. Elle ne s'attendait pas èa cela. Ses larmes coulerent de plus belle sur ses joues. Elle savait bien que le garde se foutait qu'elle soit enceinte car il la poussait assez durement. Les larmes coulaient le long de ses joues et venait finir leur chemin dans sa bouche ou elles se perdaient, engendrant une autre tristesse : celle de devoir mourir pour avoir la liberté!

Lorsqu'elle vit tous ses nouveaux amis capturés par la garde royale, Gabrielle resta figée sur place. Quand elle remarqua qu'ils reprennaient leur route, elle se leva pour aller les rejoindre.

-Non, attendez, il doit y avoir une erreur! cria-t-elle aux soldats.

Ils n'avaient rien fait de mal, il lui semblait. Elle s'arrêta, voyant que personne ne l'écouterait et s'effondra en larmes. À ce moment, un gardien de Rouerge vint près d'elle.

-Laissez-moi! dit-elle entre deux sanglots.

-Ordre du comte, ramené sa fille dans la chambre princière et l'enfermer à double tour jusqu'à nouvel ordre. Et cela, de gré ou de force, ajouta-t-il.

Têtue, elle ne bougea pas d'un cheveux et s'assit dans l'herbe. Le soldat l'empoigna doucement mais fermement et la souleva sur son épaule en poche de patates. Gabrielle battit des pieds et frappa le jeune homme dans le dos avec ses poigs, mais rien y fit. Elle soupira et se laissa emmenée à l'inérieur du château.