Maison de Bernard

Le fils de Bernard est mourant. Son fils faisait de la fièvre depuis près d'un mois. Il n'avait pas les moyens de payer un médecin, car il les dépensait pour l'alcool. Sa femme était morte, donc Bernard devait s'occuper d son fils et oublier un peu son agriculture. Bernard avait parlé de la cause de son fils à ses chums et ils ont dit d'aller voir la sorcière dans la forêt.

Benrard se dit qu'aujourd'hui était le grand jour. Il ne voulait pas que son fils meurt à son tour. Comme il habitait près de la forêt, il demanda à son ami, qui lui tenait compagnie, de veiller sur son fils.

Il allait à la forêt le plus vite possible espérant qu'il trouve la maison et que la sorcière accepte l'aide qu'il a besoin.

Cassandre suivit l'homme jusqu'au village. Là, il la conduit dans une petite maison. Elle y entra. À l'intérieur, tout était poussiéreux. Ça devait faire très longtemps que qqn avait fait le ménage. L'air était très humide et poussiéreux. Une odeur de moisissures mêlée avec une forte odeur d'alcool râpait le nez et la gorge de Cassandre.

Bien sur, Benrard était habitué à cet odeur d'alcool qu'il buvait chaque soir avec ses chums.

Le paysan amena Cassandre dans un coin de la maison unipièce où il y avait un petit lit. Le garçon dormait dedans.

-Voici mon fils. Cela fait plus d'un mois qu'il souffre de fièvre intense et il n'est toujours pas guéri. Grâce à un ami, j'ai pu aller te chercher en éspérant que tu peux le guérir.

-Bon....Pendant que je vais examiner votre fils, pourriez-vous ouvrir, les fenêtres? Ça aérra un peu la pièce.

Cassandre regarda l'enfant. Il n'avait pas plus de 6 ans. Il était tout en sueur et avait la respiration difficile. Elle retira doucement la couverture et découvrit sur la poitrine, les bras et les jambes pleins de marques avec plusieurs équimoses. Elle ne dit rien, mais elle savait que ce petit se faisait battre. Ça ne l'aiderait sûrement pas à guérir, car ça l'affaiblissait encore plus. Elle prit son poul, pas très fort. Elle notait dans sa tête tout ce qu'elle observait. Avant de commencer quoique ce soit, Cassandre demanda au père:

-Je ne peux vous dire de quoi il souffre pour le moment. Ça pourrait être plusieurs choses en même temps. POur commencer, j'aimerais que vous me donniez de la bonne eau fraîche S.V.P. Ah, juste avant, j'Aimerais savoir son nom. C'est très important que je le sache avant de lui donner des soins.

Pendant que Bernard, versait de l'eaudu robinet dans un verre, il avait it à Cassandre:

-Il s'appelle Alexis. Il n'a que 6 ans.

Il alla lui amener le verre d'eau.

-Est-ce que tu pourras le guérir vite?

-Je ne peux rien vous garantir monsieur. Je ne veux pas vous décourager encore plus, mais je déteste mentir. Votre fils est en phase terminale. Il a peu de chance, mais je vous promets que je ferai tout ce que je pourrai pour le sauver.

Elle se mit tout de suite au travail. Elle n'avait pas de temps à perdre. Elle sortit de sa sacoche en bandouillère quelques fioles de couleurs différentes. Elle versa le contenu de 2 fioles dans le verre. Un pour enlever la forte fièvre, l'autre pour aider le corps d'Alexis à combattre la maladie. Malgré leur couleur verte et mauve, les liquides devinrent incolores dans l'eau. Elle réveilla doucement l'enfant en le frottant.

-Salut Alexis, je m'appelle Cassandre. Je vais te tenir compagnie. Ça te dérange que je m'asseois au pied de ton lit?

Le garçon fit un petit sourire et lui fit un non de la tête. Cassandre s'installa.

-Tiens, tu dois avoir soif? , lui dit-elle en lui tendant le verre d'eau. Alexis essaya de le prendre, mais il était tellemet faible que le verre glissa de ses mains. Ayant de très bons réflexes, Cassandre le rattrappa.
Elle leva légèrement la tête de l'enfant et le fit boire de son autre main. Quand ce fut fini, elle lui chuchota dans l'oreille pour ne pas que Bernard entende:

-Alexis, j'ai un secret à te dire...j'ai des pouvoirs magiques, mais pas n'importe lesquels. J'ai le pouvoir de guérison. Si tu veux, je peux essayer de te guérir avec. Ça ne fait même pas mal, au contraire, tu te sentiras super bien. Est-ce que tu veux que j'essaie?

Alexis accepta en souriant légèrement.

-Maintenant, il faut que tu le veuille vraiment... Et quand tu n'es plus à l'aise ou tu as besoin de qqch, n'hésite pas à me le demander. Je suis là pour toi.

Cassandre plaça ses mains comme si elle tenait une sphère invisible. Peu à peu, la boule d'énergie commença à prendre une teinte verte.

-Alexis, je vais te demander de la prendre pour moi et de la mettre sur toi et ensuite, ferme les yeux. Tu n'as pas a avoir peur. Fais moi juste confiance.

Le petit garçon, le regard pétillant, fit ce que sa nouvelle amie lui demandait. Il n'eut pas de difficultés à prendre "l'objet", car c'était léger comme l'air. Quand il ferma les yeux, il s'endormit.
À Bernard:
-Ça va l'aider à récupérer ses forces. Bon, maintenant, j'ai besoin d'être seule avec lui, vous me le permettez?

-Bien sûr, bien spur.

Bernard voulait à tour prix que son fils guérisse. Il était son seul espoir pour lui amener la joie, l'amour, etc. berf les valeurs positives de la vie.

Bernard sortit de sa maison et alla voir ses chums pour toute la journée et laissa Cassandre toute seule avec son fils.

Cassandre posa ses mains sur le ventre d'Alexis. Une sensation de chaleur et de bien être s'empapra de lui, même s'il dormait. Elle s'occupa de lui toute la journée. Elle le faisait boire à toutes les 2 heures pour ne pas qu'il se désidrate. Le petit Alexis commençait à reprendre des couleurs et des forces, mais le plus dur était à venir......passer la nuit. Tout peut arriver à ce moment, autant positif que négatif. Il ne fallait pas qu'il prenne froid ou qu'il fasse une rechute et Cassandre devait rester éveillée toute la nuit. Mais ça, ce n'était pas su plus grande crainte.

Cassandre ne savait plus trop ça faisait combien de temps qu'elle était avec Alexis qui dormait encore. Il avait l'air de récupérer un peu, mais des plaques blanches avaient commencées à se faire un peu partout sur sa peau. Elle avait utiliser plusieurs ongants et ça ne marchait pas vraiment, mais c'était mieux que rien. Pour l'instant, l'état de l'enfant était stable. Cassandre en profita pour se lever et s'étirer un peu. Elle avait des courbatures à force d'être toujours penchée. Elle se dirigea vers la fenêtre, prit une bonne inspiration d'air frais et siffla, mais pas assez fort pour réveiller Alexis. Elle se mit sur la table de chevet et commença à écrire une letttre à Guillaume jr. Il fallait qu'elle se confit à qqn. Elle ne savait pas pourquoi, mais il fallait que ce soit lui. Elle relut sa lettre en s'accotant sur ses mains, mais elle tomba endormit.

Sirius arriva, entra par la fenêtre ouverte et alla se poser sur la table où Cassandre dormait. Il lui mordilla doucement les doigts et les cheveux. Elle se réveilla tranquillement.

-Oh non, j'ai dormie.

Elle se leva et alla voir comment se portait Alexis. Il était comme la dernière fois qu'elle l'avait vu.

-Ouf!

Elle prit la lettre et la donna à Sirius.

-Merci beaucoup, c'est très gentil de ta part. Si tu es trop fatigué, ça peut attendre à demain. Ce n'est pas grave. Fais comme tu veux. C'est pour Guillaume Jr. Elle lui donna un petit bec sur la tête de l'oiseau qui s'envola aussitôt.

Cassandre retourna au chevet d'alexis et continua de s'en occuper.

Bernard revint la deuxième journée.

Il ouvrit la porte et se rua tout de suite vers son fils malade. Il vit qu'il avait des plaques blanches sur sa peau, mais qu'il dormait paisiblement.

-Est-ce qu'il va survivre mon enfant? PI c kquoi ces laques blanches sur la peau? Est-ce que c normal? Dites-moi est-ce qu'il est correct pour l'instant?

Le père de l'enfant était paniqué. Il avait peur pour son fils. L'unique chose qui le rendait heureux était l'enfant et sans lui, il se suiciderai surement...

Il attendit les réponses de Cassandre.

Cassandre baissa les yeux.

-Son état est stable pour le moment monsieur, mais ces plaques sont apparues hier pendant la nuit et elles ne veulent plus disparaître. Je crois qu'il a un virus et il n'y a que le corps de votre fils qui peut le combattre. Je peux l'aider, mais c'est lui qui décidera de son propre sort. S'il veut vraiment vivre, il se battera jusqu'à ce qu'il soit guéri. S'il est plus de caractère à tout abandonner et s'il est malheureux, il se laissera aller.

À ce moment, Alexis gémit, ouvrit légèrement les yeux et se retourna vers son père et Cassandre. Il était tout en sueur. Malgré son extrême faiblesse, il leur parla:

-Merci pour tout Casandre. Ça m'a fait du bien tout ce que tu as fait pour moi. Tu m'as fait penser à maman quand elle me soignait.

Cassandre avait les yeux pleins de larmes. Elle savait ce que tout cela signifiait. Alexis s'adressa ensuite à son père:

-Papa, je te pardonne tout. Je t'aime quand même, mais je veux aller voir maman. Elle me manque vraiment et ....(il toussota) je la vois dans mes rêves. Elle me tant les bras. Tu sais, j'ai prier pour toi à tous les soirs pour que tu sois heureux... Je veillerai sur toi là-haut.

Cassandre savait qu'Alexis mourerait, mais on dirait qu'il attendait qqch avant de partir, car il restait là, à regarder son père.

Bernard écoutait son fils. Les larmes inondaient ses joues.

-Mon fils...reste en vie je t'en prie. Ne va pas rejoindre ta mère. Alexis, reste dans ce monde, s'il-te-plaît.

Il prit les mains à son fils dans les siennes. Et il pleurait.

-Papa, je suis désolé, mais je crois que ça va prendre beaucoup de temps avant que je ne guéris complètement.

-Non. La guérisseuse va tout faire pour t'aider à rester en vie.

-Tu devras une trop grosse somme d'argent à lui rendre, papa.

-Mais on s'en occupera plus tard, dit Bernard de plus en plus inquiet. Les larmes coulaient encore sur son visage. Il voulait que son fils reste en vie.

-Je suis désolé, papa. Maman me manque beaucoup et elle revient sans cesse dans mes rêves. Je dois la rejoindre.

Bernard serra plus fort les mains d'Alexis.

-Reste.

Mais son fils referma ses yeux, baissa sa tête sur l'oreille, à jamais. Il était mort.

-Pourquoi, moi...Je t'aimais mon fils. JE T'AIMAIS! cria-il, plein de tristesse.

Il lâcha les minuscules mains de son fils et se remit debout. Il se retourna vers Cassandre.

-Toi, tu vas me payer pour ce que tu as fait.

Il alla chercher une hache dans le coin de la seule pièce de la maison. Il se rua sur Cassandre pour la tuer à coups de hache. Cassandre devait agir vite avant qu'il ne la tue.

-Attendez!

Mais elle voyait bien que Bernard prenait son élan. En plus elle n'avait rien pour se défendre. Elle essaya de le calmer un peu.

-Écoutez, vous devriez respectez la décision de votre fils. (Elle évita de peu la hache, en faisant un pas en arrière.) Je sais que c'est dure, mais S.V.P, pensez aux conséquences de vos gest...aaah.

Bernard l'avait effleuré sur le bras. La plaie de Cassandre commençait à saigner quand même beaucoup, mais il ne fallait pas qu'elle s'en préoccupe. La seule chose qui restait à faire, c'était d'aller dans un endroit sûr. Elle décida de retourner chez elle. Elle empoigna sa sacoche et se retourna juste à temps pour voir Bernard foncer à nouveau sur elle. Elle se tassa et il enfonça sa hache dans la table de chevet.
Cassandre en profita pour se ruer vers la sortie. Elle couru le plus vite qu'elle pu, mais, par l'énervement, elle n'avait pas songer que Bernard pouvait peut-être la suivre ou la retrouver chez elle un autre jour.

Bernard continua de suivre Cassandre avec la hache dans les deux mains, prêtes à l'attaquer encore. Bernard ne ressentait plus la tristesse, mais de la colère maintenant.

-TU VAS ME LE PAYER, SALLE SORCIÈRE!

Les villageois présents regardaient d'Où venait cette voix enragé et il vit que c'Était Bernard. Normal. Ils retournèrent au travail. Mais il entendit une femme hurler puisque Bernard avait réussi à ratrapper Cassandre et lui donne un autre coup de hache. Maintenant le village se posait des questions. Ils allaient dénoncer au roi ce que Bernard avait fait. C'Était contre la loi battre des femmes en France.

Bernard lâcha enfin prise des a victime. Il retourna vite se cacher dans sa maison. Pleurer encore.

Deux yeux regardaient Bernard de prêt

Bernard peurait, pleurait à en faire un lac dans sa maison. La frustration lui remontait l'esprit. Cette sorcière, il savait où elle vivait. Il commença à rire étrangement(genre Muhahaha). Il se leva et...

-Ahhh! cria-t-il comme une fille. Euhh. scuse, mais que fais-tu chez moi?

Sa hache est à sa gauche et la jolie jeune fille à sa droite, alors il prit tranquillement et subtilement son outil derrière lui en même temps qu'Il se levait.

Daphné regarda l'homme.

-Je vous interdit de me toucher avec votre outil à faire tomber les arbres! Je vous préviens, si vous m'éffleuré le moindrement, LE ROI DE FLANDRE ENTENDRA PARLER DE VOUS!! En passant, c'est mon père...

Elle se recoiffa, lui fit de beaux yeux doux et un large sourire. Elle lui fit un signe du doigt de s'approcher. Elle lui chuchota à l'oreille:

-Approchez, coquin... J'ai un secret à vous dire... Je sais qui vous a fait tant de mal... C'est cette sorcière, n'est-ce pas... et je connais la bande de sauvage avec qui elle se tient...

Daphné pointa du doigt sa robe tachée de sang juste au-dessus de son buste. Elle tira légèrement son décolleté à droite pour lui faire découvrir son épaule plein de sang séché.

-C'est cette bande de voyous qui m'a fait ça. Alors, voulez-vous vous allier avec moi....j'ai un plan pour les faire souffrir...y comprit cette petite garce de sorcière. Êtes-vous avec moi?

-Moi, c'est la sorcière que je veux tuer et non les autres, à moins qu'ils étaient aussi dans le complot de tuer mon fils.

-Mais vous ne le savez pas??? C'est eux qui ont aidés la sorcière à tuer ce pauvre enfant. Ils voulaient l'iliminé, comme moi.. Ils sont tous dans le coup et c'est pour ça qu'ils se sont enfuis! Mais le prince Guillaume Jr s'est fait enlevé,plutôt KIDNAPÉ, par ces sauvages. Il est maintenant leur prisonnié... C'est...C'est mon fiancé! snif! snif!

Elle parti en sanglot pour faire plus réalité.

-Alors? Vous êtes avec moi? Nous allons la torturer cette sorcière et la tuer ensemble...tout les deux... vous et...moi. Hen hen!!(bruit de pétasse)

Elle fit battre ces longs cils pour céduir Bernard.

Bernard ne regardait pas vraiment les yeux de la jeune princesse. Il répondit sur un ton déterminé:

-Je suis prêt!, en donnant un coup de poing dans sa paume libre. Alors, est-ce que tu avais déjà un plan pour commencer notre vengeance?

- En passant vous pouvez m'appeller..Daphné!! Et bien sur que j'ai un plan! Mais pour que sa marche il faut retrouver Anna, une bonne à rien car elle est recherché par le roi. Après le roi de Paris va revenir ici et c'est à ce moment qu'on va commencé à s'amusé.Ah! Ah! Ah! Ah!.....

Elle commença à rire d'un rire diabolique.

-Bon d'accord...Daphné. Et ça prendra combien de temps avant que le roi la retrouve? Avant qu'on s'amuse, comme tu le dit?

-Avant de déguster notre plat principal, il faut toujours commencer par une entrée , mon cher. Et savez-vous qui sera notre entrée?

Bernard s'approcha de Daphné, l'air intéressé.

-C'est cette sorcière bien entendu... Bon, amenez tous vos jouets pour vous amusez, car on s'en va à la maison de cette petite garse qui a voulu m'empoisonner!!

Elle releva le menton et se dirigea vers la sortie.

-Ah, et n'oubliez pas votre engin à faire tomber les arbres. Je vous attends à l'extérieur, vous viendrez me rejoindre.

Elle commença à quitter.

-Je commence à marcher......alors, QU'EST CE QUE VOUS ATTENDEZ?, gentil homme. Venez me rejoindre Hen, hen! (rire de petite pétasse)