salon de la famille royale.

Philipa entra, croyant avoir entendu du bruit. La piece etait par contre vide. Elle se dirigea donc vers la cours pour voir si l'un de ses fils s'y trouveraient.

Camelot arriva à la porte du salon en compagnie d'Amayelle. Il entendit des voix, mais son instinct de chevalier lui disait qu'il fallait mieux attendre avant de frapper à la porte. Il savait qu'il y avait une dicussion importante dans cette pièce.

-Attendons un peu avant d'entrer, dit-il à Amayelle en chuchatant à voix tellement basse que seulement elle pouvait entendre.

mais comment as tu oser? Tu l'a connais à`peine, ca a beau etre ta fiancée, ca ne te donne pas le droit de coucher avec avant le mariage! Tu es exactement comme ton pere.

elle savait que cette phrase lui irait droit au coeur. il n'aimait pas son pere. il a coucher avec plusieurs autres femme que sa mere pendant son mariage. c'est a ca que penses Philipa.

-Mais mère je l'aime beaucoup et je voulais juste avoir un moment d'intimité avec elle avant le mariage.

tu sais que c'est contre les lois chrétiennes. Je n'autoriserai plus ça dans ma maison. Ne le dit pas à personne, ça va rester entre nous trois. Quand même Guillaume! Ce n'est pas comme ça que je t'ai élever!

elle mit sa main devant ses yeux, découragée et honteuse.

Camelot entendit quelqu'un approcher. C'était un messager qui lui dit:
-Un message pour messir Guillaume Jr.

Camelot répondit:
-De la part de qui?

-De la princesse Daphné de Flandre

Camelot dit précipitament au messager
-Il est très occupé, je lui donnerai.
Il prit la lettre et la cacha dans sa poche. Le messager partit sans poser de question.

Amayelle le regarda d'un air songeur.

-Je dois absolument parler à Guillaume. Attendez-moi, je reviens.

Il cogna à la porte du salon, et entra mal à l'aise
-Désolé,de vous interrompre(il s'inclina devant la Reine) je dois absolument, de toute urgence, parler à messir Guillaume Jr et sa fiancée ''Daphné''. Je vous attends dans votre chambre. Encore navré d'avoir coupé votre discussion.

Il sortit du salon et dit à Amayelle:
-Je vais donner le message à Guillaume dans sa chambre, et j'ai qqch à lui dire en privé. Quand nous reverrons-nous?

Était perdue dasn ces pensée elle pensait à Camelot

(tant pi si vous voyez pas nananana)à

le messager la fit sursauter...

-Euh... bonjour monsieur.. dit-elle comme si elle avait fait une gaffe.

-Je vais ceiullir des framboise cette parès -midi si vous voulez vous pourrez venir avec moi je vous attrendrez à l'entré du chateau...

sourit

[je crée le topic]

-Très bien dès que je termine, j'irai vous rejoindre.
Il lui sourit et partit vers la chambre de son ami.

Guillaume étaient tout mêlé. Là sa mère qui l'engueulait puis son ami vient lui donné une lettre et veut lui parler en privé.

Guillaume se leva de son divan et regarda sa bien-aimée.

-Aurevoir...

Il lui envoya un bec soufflé.

Puis il quitta les lieux pour suivre son ami vers sa chambre sans prendre la peine de dire au revoir à sa mère.

Elle garda le silence pendant un long moment puis se retourna ver "Daphné" et l'examina de la tête au pieds. La petite se sentit regarder et rougit.

Tu es jolie, mais tu es trop musclé et trop peu rafinée, ce n,est pas normal pour une princesse.

Mariann avait peur qu'elle aie découvert le poto rose, comment va t,elle sortir de ce mauvais pas?

Toute la journée, Marianne et Philippa parlaient de ce qu'elle avait faite avec Guillaume jr. Philippa ne s'était pas trop douté que la vraie Daphnée était Marianne, pour l'Instant. C'est alors que Guillaume jr entra dans la soirée interrompant la conversationdes 2 femmes et il dit:

-Chère, mère pouvez-vous garder un énorme secret à ne dévoiler à personne?...(elle fit un signe de oui par la tête) D'accord, je vous fais confiance, mère. Voici ce que j'ai à dire; c'est que la personne devant toi c'est Marianne et non Daphnée. Je viens chercher ma belle aimée et nous partons loin d'ici où nous serons heureux. Maintenant nous allons partir maintenant puisque père est à la cathédrale et c'est notre chance de partir.

Il se retourna vers Marianne et lui prit la main pour qu'elle se lève. Philippa ne faisait qu'écouter son fils et ne dit rien. Lorsque Guillaume jr et Marianne passèrent sous la porte, son fils se retourna pour lui dire doucement:

-Je te fais confiance...

Marianne et Guillaume jr partirent rejoindre Camelot et Amayelle laissant la mère de Guillaume jr seule.

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Elle se mit a pleurer. ce que son fils ainé lui avait révélé la boulversait. Elle avait tellement été prit au dépourvu qu'elle n'avait pas pu réagir.

Sophia se promenait dans le chateau quand elle entendit des pleurs. Elle entra et trouva sa mère en larme.
-Ça va mère?

qu'est ce que t'en pense? lui dit-elle en continuant de pleurer.

Elle s'en voulait de ne pas avoir réagi.

-Je vois bien, mais... qu'est-ce qui s'et passé? Qui t'a laissé dans un état pareil?
Elle s'inquiétait pour sa mèere.

C'est Guillaume jr, il s'est enfui avec Mariann! Moi jai été trop cruche pour les arreter! elle dit tout ca entre deux sanglots et recommenca a pleurer.

-Mais voyons ce n'est pas de ta faute, tu n'y est pour rien, d'accord. Arrête de pleurer maintenant, et montre moi ton beau visage.
Elle essuya les larmes de sa mèere.

Philipa se calma peu a peu. elle savait ses deux enfants guillaume jr et Anna en fugues et s'inquietait pour eux. Elle savait aussi que son mari était parti a leur recherche et qu'il serait surement enragé, aussi il les rameraient de gré ou de force au chateau, elle décida d'écrire deux lettres une pour son mari et une pour ses enfants.

Quand elle eut fini d'écrire elle demanda deux pigeons voyageur.

Elle espera que ceux-ci se rendraient a destination, car personne ne savait ou se trouvait les trois personnages royaux.

les pigeons s'envolerent par la grande fenetre du salon.

la reine se retourna vers Sophia et lui dit: oh j'espere qu'ils sont saints et sauf.

-Ne t'inquiète pas, ils vont surment très bien. Ils finiront bien par revenir. N'y pense plus, tu as surment mieux à faire que de pleurer et te morfondre.
Sophia serra sa mère dans ses bras.
-Tu es une très bonne mère.

Philipa embrassa sa fille sur le front.

Esperons que tu as raison, dit-elle en se levant.

Tu vienas avec moi? je vais continuer mon tissage, tu pourras m'aider.

-D'accord, je vais avec toi. Cela te fera changer les idées.

Elles partirent donc, vers les appartements de Philipa.