Puit

Elle le regarda bizarement. Tu tire trop vite les conclusions! c'est l'ami de mon frère, je le connais à`peine! Bon moi je vais vous laisser j'ai des choses de paysannes sur le programme aujourd'hui.

Elle se tourna vers Anna.

oh et si tu te fait poursuivre par des gardes ne t'étonnent pas, ils cherchent une fille qui me ressemble qui aurait fait une fugue du chateau.

tout le monde compris qu'il sagissait d'elle.

Nous, les humains, ont est vraiment bizarre... je comprend pas pourquoi personne accepte se qu'il est. c'est tout simplement stupide.

c'est tout simple tu sais, ce sont habituelement les personnes avec des personnalités contraires qui se ramassent avec des roles pas faient pour eux, mais c'est comme ca on apprend a endurer. Sincerement serait tu capable de rester enprisoner de un chateau pour le reste de tes jours? j'en doute fort.

elle se leva pour partir.

Amayelle arrivait avec les gardes...

elle avait tous expliqué au roi du début à la fin....

-Attention soyez discret vous la connaissez elle s'enfuuira .. il faut y aller avec douceur...murmura-t-elle au roi

Elle sentit quelque chose bouger.

Vous avez entendu? demanda t'elle aux autres.

oui tu as raison Amayelle, je le sais qu,elle le fera si elle nous entends. Ils se cacherent derrieres des arbres et des buissons. Ils épierent la bande autour du puis. Le roi vit qu'il y avait deux jeuenes de la meme taille, celle de sa fille.

Je ne sais pas c'est laquelle des deux. murmura t'il

C'est evident que c'est celle avec la jolie robe, dit lun des soldats.

Non, je n'en suis pas sure, ma fille est brillante elle aurait pu utiliser ce stratageme pour s'enfuir.

Je sais nous allons attaquer sur les deux en meme temps.

Il s'épara le groupe en deux.

attendez mon signal.

le signal fut lancé et les soldats soertirent des buissons et sauterent sur les deux jeunes filles.

guillaume jr arriva aux côtés d'Amayelle,car il avait recu l'ordre de rester avec elle et de poursuivre les fugueuses si elles fuyaient.

-est-ce que c'est moi ou je vois soeurette en paysanne et une fille à ses côtés qui ressemble à qqn...


Guillaume a reconnu sa belle Marianne, mais ne dit rien. ''Je pense savoir qu'est-ce qu'elles manigance".

Anna n'eut pas le temps de réagir qu'elle se retrouva entourer de garde qui la maitriserent et l'empecherent de bouger. Elle se débatit, mais rien en fit. De son coté Mariann ne bougeait plus et n'essayait pas de fuir.

Le roi reconnut sa fille, en celle qui se débattait. Il s'approcha d'elle.

Salut ma puce, comment as tu pu croire que je ne te reconnaitrait pas? Je te connais mieux que toi meme. il dit ca d'un ton moqueur, ce qui la frustra encore plus.

mais qui est dons l,autre jeune fille? se demanda t'il, elle a l'air noble et bien eduquée.

Guillaume Jr s'approcha de la belle fille et dit a son père:

-Père, tu ne la reconnais pas?

Marianne regarda Guillaume d'un air inquiet" elle avait peur que Guillaume ne dévoile son identité.

Son père fit un regard qui montrait qu'il ne connaissait pas cette fille.

-Mais Père, c'est Daphnée, ma future femme!

Marianne eut un soulagement.

-Viens, Daphnée on va te réchauffer chez nous...

Kotaro regarda le roi et sa fille et ria légerement

c'Est marrant tout ca... tres marrant.

Le roi était plus étonné que jamais, il les laissa passer, abasourdi.

Il se retourna vers sa fille qui bouillonnait sur place et du grand gars a coté.

mais qui es tu toi?

Anna mordi le bras du garde qui la retenait. Elle passa en dessous de leur jambe et partiie a courir.

les gardes s'élancerent a sa poursuite sur les odres du roi et ils la rattraperent.

elle perdit espoir et grimaca, elle ne bougea plus voyant que ca ne servait a rien.

Kotaro dégaina ses épée d'un geste vif et se battit contre les gardes. il prit anna , la mit sur son épaules et partit en courant

suffit, dit-il en lui faisant signe de se taire. Tant qu'elle sera ma fille et qu'elle ne serra pas mariée, elle reste sous ma protection. Je ne fais que la proteger Amayelle rien de plus. Je l'adore et je ne veux pas qu'il lui arrive aucun mal. Je sais qu'elle est malheureuse et pour ce faire, je vais la retrouver moi-meme et avoir une discussion avec elle. Il prit une petite troupe de cinqu gardes et le papa inquiet parti vers l'endroit ou sa benjamine avait été amenée.

Caitlyn arriva en courant et sauta sur Amayelle. Elle était maintenant assisse sur la fille et elle sortit son couteau qu'elle mit sur la gorge de sa victime.
-Salut! Ça va?

Camelot, qui était resté muet pendant tout ce moment pour ne pas se mêlé à l'histoire et empirer les choses déguaina son épée

-Jeune fille, je vous déconseille de faire se que je pense!

Il déprit Amayelle de Caitlyn et d'un geste, il l"embarqua sur Courage, sa monture. Il sauta sur sa selle et partit au galop vers la château avec Amayelle.

Amayelle était sou le choc!

elle regarda Camelot et dit

-Merci! ........Une voix douce et rassuré

(hors-jeu: est ce que camelot a une amoureuse parce que sinon....)

Cassandre arriva au puit:
-Ah, marcher longtemps, ça me donne soif!

Elle sortie une gourde sous sa cape, car elle n'avait pas le droit de boire avec le seau, les autres avaient trop peur d'attrapper une maladie s'ils buvaient dans le même contenant. Le Roi avait donc fait une loi pour cette raison. Elle remplie sa gourde et but:

-Tu dois avoir soif toi aussi...

Le chat sorti de sous sa cape et s'assit sur le bord du puit. Elle tendit la main et mit de l'eau de sa gourde. Le félin but et tendit les oreilles par la suite.

-Quoi, qu'est-ce qu'il y a Shadow?

Elle releva la tête. Rien à l'horizon, mais qqch lui disait qu'il fallait qu'elle retoturne chez elle.

-Passe devant, cours à la maison voir ce qui se passse. Je te rejoins.

Le chat obéit et partit en courant vers la forêt. Cassandre le suivit en marchant.

Un vrombissement régulier et rapide rompit le silence obscure de la nuit. Au loin, une silhouette d'un cavalier chevauchant sa monture s'approchait rapidement. Camelot était ravi d'enfin apercevoir le puits de la grande place. Il lui semblait que cette destination avait été la plus longue de toute sa vie. Il encouragea Courage de garder le rythme puisque le chevalier voyait bien que son destrier était exténué. Ils arrivèrent finalement au puits où Camelot débarqua précipitament de son cheval. Il descendit le seau dans la cavité et commença à le ramener en tournant la manivelle. Ce simple geste répétitif lui demandait un effort considérable. Ces muscles endoloris et son esprit fatigué par le voyage et tout ce qui se passait lui compliquait la tâche. Néanmoins, il se dépêchait pour remonter le contenant rempli du précieux liquide. Quand il eut réussi à empoigné le seau, il en donna tout de suite à Courage qui en réclamait depuis longtemps et qui l'avait hautement mérité. Du même coup, Camelot lui offrit le beurre que Cassandre lui avait donner avant de partir. Le cheval engloutit le tout ce qui obligea le chevalier à aller puiser de l'eau une seconde fois. Il se donna du courage et de la force en songeant à Amayelle. À ce moment, le chevalier redoubla d'effort et il réussit à monter le contenant. Il remplit la gourde pour Amayelle et s'aspergea le visage avec l'eau qui restait dans le seau. Il aurait voulu partir immédiatement pour retourner chez Cassandre, mais il voyait bien que Courage n'en pouvait plus. La respiration du cheval était précipité et rauque. Camelot décida qu'il était mieux d'attendre un peu avant de repartir. Il s'assit sur le bord du puits en attendant que Courage reprenne des forces.

Les personnes qui étaient dans les parages commençaient à sentir un parfum épicé à en faire pleuré les gens qui ne pleurent jamais.

Et oui, Daphné traînait dans les rues, encore à la recherche d'une source d'eau. Elle avait retrouvé ses bagages et avait enfilé une de ses plus belles robes. En effet, elle n'avait apportée que ses plus belles robes pour impressionner la famille royale, elle n'avait donc pas le choix de porter ce qu'elle avait emmené. Elle portait une robe avec un très très très très très très très très très très gros décolté. Le tissu était orné d'or et avait plusieurs épaisseures ce qui rendait la robe très lourde et étoufante de chaleur. Daphné arriva enfin au puit. Elle soupira soulagée de trouver enfin une source d'eau et soudint elle vit...

-Le parfait?

Camelot se râcla la gorge, car une forte odeur lui prenait dans le pharynx. Il sentit une présence derrière lui quand il entendit soudain la voix de... DAPHNÉ??? Promptement, il se retourna dans la direction de la voix féminine et fit un bond en arrière en l'apercevant.

-Vous? Mais... c'est impossible! s'exclama-t-il.

Camelot se frotta les yeux vigoureusement pour s'assurer que ce n'était pas la fatigue qui lui jouait des tours. Malheureusement, il comprit que la présence de la princesse de Flandres était bien réelle.

*Mais, elle est morte! Elle ne peut pas être devant moi, elle s'est tuée!* pensa-t-il, décontenancé.

Il resta silencieux, ne comprenant plus ce qui se passait en essayant de dissimuler sa crainte.

Daphné esquissa un sourire mesquin et décida de jouer le jeu.

-Je suis le spectre de Daphné! ...mais en mieux. Je devrais plutôt dire la plus belle spectre d'entre tous les morts! Eh oui, c'est moi, je viens vous hanter, je suis Daphné! Ah, depuis quand je fais de la poésie? Depuis que je suis... MORTE !

Elle s'approcha de Camelot en marchant tranquillement, comme si elle était un fantôme.

Même si Camelot ne comprenait pas comment Daphné avait fait pour survivre à sa chute il y a quelques mois, il n'était pas naïf au point de croire toutes ces idioties. Il savait bien que ce n'était pas une revenante, mais cette fille lui donnait la chair de poule. Elle était vraiment folle! Quand elle vint vers lui, il recula et lui ordonna:

-N'approchez pas de moi! Avez-vous perdu la raison? ...quoique elle n'avait déjà pas toute sa tête avant de tomber dans le ravin, se dit-il à lui-même.

Malgré ses commandements, la princesse continuait de s'avancer vers lui en le fixant d'un regard vitreux. Il eut comme réflexe de sortir son épée et de la pointer vers elle.

-Je vous demande de rester où vous êtes, dit-il calmement, maintenant qu'elle ne lui faisait plus peur.