Le roi arriva en trombe dans le chateau de son vassal. Il demanda a le voir et les soldats se dépecherent d'aller le chercher. Quand il arriva, il s'inclina devant Guillaume, il le fit se relever et posa son regard noisette remplis de fureur dans le sien.
Avez-vous réussi a attraper ma fille?
Le seigneur se mordit la levre et fit signe que non.
Comment? Vous n'avez pas réussi a capturer une fillette de 14 ans? lui demanda t'il d'un ton frolant sa grande colere.
Le Duc baissa les yeux et dit : Elle était avec toute une bande de sauvages guerrier, ne m'en vouler pas au mon roi, dit-il en lui baisant les pieds.
Guillaume se dégaga d'un coup sec. Il avait réputation d'etre dur et il le démontra bien.
Je n'ai que faire d'un Duc qui est incapable de retenir une fillette meme avec quelques sauvages avec elle! dit-il d'un ton severe et hargneux.
Le Duc était au bord des larmes, seuls les fous pouvaient déliberement defaire leur alliance avec le plus grand roi du pays. Il répondit: au pitié mon roi je vous en pris, ca ne se reproduira plus, je ferai n'importe quoi pour etancher cette echec, mais pitié ne briser pas notre alliance et laissez-moi duc de ce duché, oh je vous en pris. Il baisa de nouveau les pieds du haut roi.
Guillaume se dégaga de nouveau et regarda son vassal, il repondit: Tres bien pour cette fois-ci je vais etre clément, mais vous devrez me donnez des hommes pour m,aider a retrouver mes enfants. Et si jamais quelque chose de ce genre ce reproduis vous serez defaits de vos fonctions et emprisonné a vie, est ce bien clair? et aussi j,aimerais savoir dans quelle direction mes enfants se dirigent-ils6
le duc répondit: oh oui mon bon roi, merci de votre clémence jamais ceci ne se reproduira et je vous donnerez des hommes pour cette importante mission. Vos enfants sont partis vers le sud-est, ils sont soit en Aquitaine soi au gévaudan. et aussi je vous promets devotion et obéissance.
et voila qui est mieux et merci pour cette information, dit le roi. Il attendit que ses nouveaux hommes arrivent puis il parti sans demander son reste, avec sa troupe qui était maintenant d'un nombre epoustouflant.