Maison de la Sorcière

Orléanne prit une chaise, elle respirat un bon coup et soupira, enfin un endroit ou elle n'était pas chassé.

- Votre maison est charmante, et merci pour l'aceuil. dit-elle

Elle regarda shadow qui inquiet regardais la fenètre.

- Votre chat est-il toujours comme ca. dit-elle en le pointant du doigt.

-C'est mon ange gardien! dit-elle en plaisantant. Il est un peu trop possessif parfois, je dois dire.

À ces mots, Shadow se retourna et fixa sa maîtresse. Il eut une brève expiration et releva la tête vers la fenêtre d'un air boudeur. Cassandre eut un petit rire et alla le rejoindre pour le gratter derrière les oreilles. Aussitôt, le chat se mit à ronronner bruyamment.

-Tu sais bien que je t'aime, voyons! Ne dis pas des choses pareilles... (Cassandre comprend la langue de certains animaux)

Elle lui donna un léger baiser sur le dessus de la tête et alla à son chaudron pour voir si c'était près. Elle huma la fumée qui émanait du bouillon et en refermant le couvercle annonça à Orléanne:

-Ça devrait bien tôt être prêt. En attendant...

Elle alla s'asseoir en fasse de son invitée et la regarda dans les yeux.

-...de quoi voulait tu me parler exactement au marché?

Orléanne regarda Cassandre dans les yeux, puis tout en jouans avec les plis de sa robe, elle répondit:

-J-je n'en suis pas si sure, j'ai bien réfléchie et j'ai besoin de votre aide...
Je me suis souvent fait chassé de beaucoup d'endroit a cause de mes ailes, et j'ai penssé que peut-être je pourrais m'en d-débarassé. Mais il y a un autre problème c'est que le remède est comment dire, caché chez les sorcière de Wendron...
Mais lorsque qu'on en parle comme ca, je ne suis pas si sure de mon choix...
J'ai besoin de votre aide. Dit-elle


Elle regarda Shadow qui désormait la regardait la bouche grande ouverte tout comme son maitre...

Cassandre essaya de cacher son étonnement . Elle porta son index sur ses lèvres, signe de profonde réflexion. Après un moment de considération, elle lui dit en pesant bien ses mots:

-Si tu y as bien réfléchi, mais que tu n'es pas encore sûre de ta décision lorsque tu m'en parles, c'est signe que tu n'y a pas assez réfléchi... De plus, je n'ai recours qu'à la magie blanche. Je ne peux supporter la magie noire et ceux qui l'exerce.

Cassandre prit un air sincère et continua:

-Tu sais, moi aussi je vis une vie difficile. Tout le monde me rejette ou a peur de moi. La plupart des gens sont ainsi:ils jugent avant même de connaître. Crois-tu vraiment que ça fera une grosse différence dans tes relations sociales si tu te les faisaient retirer?

-Non mais c'est vrai que je suis nouvelle. dit-elle

Cassandre avait raison..
Cette dernière avait désormait apporté le bouillon qui sentait très bon.
tout en mangeant le repas , orléanne se disait que c'était un peu fou de sa part de vouloir s'enlever ses aîles, elles étaient très belles.

-Je vous remercie de votre hospitalité. dit-elle entre deux bouchés

C'est vrai Cassandre était très fine.....

-Ça me fait plaisir. C'est rare que nous recevons de la visite d,Une aussi «haute qualité».

Cassandre ramassa les assiettes et désservie la table. Elle regarda dehors et vit qu'il commençait à faire sombre dehors.

-As-tu une place pour dormir ce soir? Ça me ferait plaisir de te faire une place, si non....

-oh je.. je ne voudrais pas m'inposer mais si vous avez une toute petite place, je la prendrais volontier...


Cassandre lui sourit puis elle s'en alla dans le fond de la pièce.
orléanne fit un pas vers elle.


-Hum, qui d'autre connaisser vous? demanda t'elle

-Mais non, voyons. Ça nous fait plaisir! Pas vrai, Shadow?

Pour la première fois depuis son arrivée, le chat noir quitta son tabouret pour aller sur le genoux d'Orléanne pour se faire caresser.
Cassande sourit en voyant que même son chat aimait bien Orléanne.

*Peut-être que ça la réconfortera un peu* songea-t-elle.

Elle alla ouvrir une garde armoire lorsqu'Orléanne lui posa la question. Elle la regarda d'un air interrogateur, ne sachant trop quoi répondre.

-Qu'est-ce que tu veux dire par «Qui»? lui demanda-t-elle tout en sortant un drap curieux de l'armoire.
En fait, vu le manque d'espace, Cassandre avait fait elle-même ce hamac il y a longtemps, au cas où elle recevait un hôte ou si elle devait partir dans la forêt pour quelques temps. Il n'avait presque jamais servit et était encore doux comme du tissu neuf. Elle commença à l'installer en attendant la réponse de son amie.

-Et bien d'autre personne que vous connaisser. dit-elle tout en carressant shadow

Cassandre avait désormait installé le hamac, il avait l'air confortable!
Orléanne était ravie enfin quelqun l'aimait pour ce qu'elle était...

-D'ou venez vous, ou enfin si je peux vous tutoyez, d'ou viens tu?

-Oh, surtout ne te gênes pas. Quand quelqu'un me vouvoit, je me sens comme une vieille femme ratatinée, répondit-elle en riant. Et oui, en effet, je connais d'autres personnes. J'ai un ami qui reste tout près d'ici. Aussi, j'ai plusieurs connaisances puisque j'ai soigné beaucoup de gens, même si personne n'ose n'en parler.

Elle marqua une pause en songeant à la question qu'Orlénanne venait de lui poser.

-Mmmmh... En fait, je n'en ai aucune idée. Mes parents sont morts lorsque j'étais très jeune. Je n'ais jamais vraiment connu ma famille. Je n'ais connu que ma grand-mère qui m'a élevée. C'était une grande femme, bonne et qui ne souhaitait que le bonheur des autres. Je l'aime beaucoup... Elle est mon idole depuis mon plus jeune âge.

Elle soupira, nostalgique de ces belles années en compagnie de sa grand-mère. Elle reprit ensuite sur un ton plus certain:

-Et toi, tu m'as l'air d'avoir une histoire bien particulière... Serait-ce trop indiscret de te demander d'où viens-tu?

-Et bien mon histoire... Je crois que je peux te la réciter asser rapidement car elle est très longue... Je suis née comme ca sur les marches de la cathédrale Notre-Dame de Paris, j'était blanche comme neige et contrairement à tout les bébés a la naissance je ne criait pas, je ne pleurais pas et je ne respirais pas... Ont m'a déposée sur une table puis il m'ont regardé pendant une heure, au bout d'une heure j'ia poussée mon premier soupir.. Mes parents ont dit que j'était le diable, avec deux ailes blanche ,donc il m'ont mit dans une orphelina dès que j'ai eue 1 ans j'était plus fragile que tout les autres enfants je ne pouvait courir sans risquée de me briser les os, je ne mangait pas beaucoup. Un jour des personnes sont venues et ils m'ont attachée a une chaise puis ils ont entreprit de m'arracher les ailes. J'ai réussie a m'enfuir puis j'ai crier le plus long crit que j'ai pus.. Ensuite je suis arrivée dans une forêt car je volait depuis plus d'une journée... Donc je me suis efondrée inconsient sur le tapis de sapin et le lendemain matin j'était dans un lit de soie.. C'est a se moment que j'ai rencontrer les Sorcière de Wendron et que j'y aie appris a maitriser l'eau et l'air un jour la sorcière mère ma dit que j'était trop blanche et que je ne pouvait pas resté ici, j'ai insister pour rester mais elle m'a jetée un sort qui fait que je ne peut m'approcher de leurs lieux.... Puis un jour j'ai appris que j'avais une soeur. Peu de temps après l'avoir connue la cavaleries de france est venues et il l'ont fait prisonnières, la disant sorcière... Peut-être le connais-tu?!? Elle s'appelle Marie-lie.. Puis un jour j'ai rencontré une personne charmante nommé Cassandre... Bon je crois que c'est tout , dit-elle avec un gros soupir mélanger avec un sourire.


Elle baissa la tête attendant le réponsse de Cassandre.
Elle regarda dehors il fesait noir ont n'y voyait rien.

Cassandre baissa la tête et rougit au compliment qu'Orléanne lui fit.

-C'est toute une histoire que tu as! De plus, tu m'as l'air jeune, je ne me trompes?

Elle songea ensuite à Marie-Li. Ce prénom lui disait-il quelque chose? Elle chercha le plus loin qu'elle le pu dans sa mémoire, mais ne touva rien. Pourtant, ce nom n'était pas très familier ici, à Paris. Pourtant, il lui semblait qu'elle l'avait déjà entendu quelque part. Peut-être que ça lui reviendrait un jour.

-Je ne sais vraiment pas pour ta soeur, mais mon ami est le fils du roi. Si je le revoie un jour, je pourrai lui demander s'il sait quelque chose à ce sujet... mais c'est bizarre, car j'ai été la seule sorcière ici depuis presque 10 ans maintenant et je n'en ai jamais connu d'autre qui ce soit faite arrêté parce qu'elle était «sorcière».

- Ca se peut elle ne voulait pas le faire savoir.....

Elle regarda Cassandre..

-tu sais j'ai 14 ans et toi?

Cassandre n'eut même pas le temps de répondre à la question d'Orléanne, car elle fut interrompue par un bruit sourd provenant de devant sa maison. Elle prêta plus attention à la rumeur, inquiète qu'il s'agisse d'une embuscade de voleurs ou de la visite d'un inconnu. Il était rare qu'elle ait des visiteurs, surtout à cette heure si tardive. Elle perçut la respiration essouflée de deux chevaux et la présence d'une aura de magie puissante. Elle s'approcha de son arme qui se trouvait à côté de la porte et attendit.
Un petit groupe de personnes s'approchait et monta sur son balecon. La sorcière pouvait distinguer le cliquetis d'armes qui s'entrchoquaient à chaque pas que les étrangers faisaient. Un silence inquiétant s'installa. Soudain, on cogna frénétiquement à la porte. Cassandre prit délicatement son épée entre ses mains. D'un getse étonnement rapide, elle ouvrit la porte et pointa sa lame sur la gorge de l'escroc.

-Pas un geste! leur ordonna-t-elle avant d'avoir vu leur visge.

Camelot se figea lorsqu'il sentit le fer froid effleurer sa gorge. Il déglutit, sachant que Cassandre ne les reconnaissaient pas puisqu'ils avaient le visage dans l'obscurité. Il portait Amayelle dans ses bras et dit d'une voix calme:

-Cassandre, je suis Camelot, l'ami de Guillaume. Laisse-moi faire un pas en avant et tu pourras juger toi même la cause de notre visite.

Le chevalier sentit la lame se retirer à son plus grand soulagement. Il s'avança vers la frêle lueur dégagée pas les flammes dans l'antre du foyer. Camelot sourit à Cassandre qui le reconnut ausitôt.

Cassandre s'excusa profondément auprès des voyageurs et les laissa entrer dans sa demeure. La guérisseuse fit les yeux ronds à la vue de la jeune fille que le chevalier portait dans ses bras. Sans perdre une minute, elle lui commanda:

-Vite, étends-la sur mon lit. Le voyage a du être éprouvant pour elle.

Quand ce fut fait, Cassandre examina rapidement la malade. Elle se retourna vers le jeune homme et lui tendit une énorme gourde et quelque chose envelopper dans un tissu.

-Prends Camelot. J'ai besoin d'eau fraîche pour la soigner. Tu devras te rendre au puits pour aller en chercher. Ceci, ajouta-t-elle en pointant le produit emballé, est un beurre spéciale qui permettra à ton cheval de supporter cet effort supplémentaire. Ça lui redonnera de l'énergie, mais noublie pas de tout de même bien l'abreuver rendu là-bas. Allez, file!

Camelot était entré dans la demeure suivit de Max qui tenait la petite Danaë dans ses mains. La pauvre était épuisée par tous ses évènements et s'était endormie sur Jack durant le voyage.

-Bonsoir Cassandre! Oh ma vieille amie... Ça fait si longtemps que l'on ne s'est pas vu... Mais tout d'abbord je dois te demander si tu auras assez de place pour loger Danaë et Amayelle pour la nuit. Elles ont besoins de beaucoup de repos et de tes bons soins!

Maxime s'approcha de Cassandre. Et lui dit tout au creux de l'oreille le moins fort possible:

-Cassandre il faut qu'on se parle seul à seul tout à l'heure j'ai des choses importantes à te dire.

L'homme aux cheveux roux remarqua qu'une jeune fille aux ailes blanches était présente dans la salle à manger. Il la regarda quelques instants. Contrairement à beaucoup de gens, Max était fasciné par les ailes de la jeune fille et aimait toujours quand Cassandre recevait des cas spéciaux comme des fée, des centaures, des lutins et autres. Le jeune homme décrocha ses yeux pétillants des ailes d'Orléanne et se retourna vers Cassandre.

-Nous sommes désolé de te déranger à cette heure si tardive, surtout que tu as une invitée.

Camelot sortit, prit son élan et enfourcha Courage précipitament. Il empoigna les brides et murmura quelques paroles inaudibles à son cheval. Il n'eut même pas le temps de presser les flancs de son destrier qu'il était déjà partit au grand galop vers le puits.

Cassandre alla refermer la porte que Camelot avait laissé ouverte derrière lui tellement il était pressé. Par la suite, elle se retourna vers Maxime, contente de le revoir:

-Moi aussi je suis heureuse de te revoir Max!

Cassandre remarqua le profond intérêt que Maxime portait à Orléanne. Elle fit un petit sourire espiègle en voyant le regard ébahi du chevalier.

-Ne me dit pas que tu n'as jamais vu d'ailes de ta vie! lui dit-elle. Maxime, je te présente Orléanne. Orléanne, Maxime. C'est un vieil ami à moi. Disons... que je l'ai connu, car IL avait grandement besoin de mes compétences...

Maintenant que les présentations étaient faites, Cassandre décida de revenir à la question que Maxime lui avait posée.

-Pour Amayelle, il n'y a pas de problème. Je lui laisse mon lit jusqu'à ce qu'elle se sente mieux. Orléanne prend le hamac que je viens d'installer et pour la petite Danaë...

Elle posa son index sur son menton et examina sa demeure un instant, cherchant un endroit où la fillette pourrait s'installer. C'était rare qu'elle devait héberger autant de personnes à la fois! Elle eut une petite exclamation en trouvant une idée. Elle alla dans une armoire au fond de la pièce et en sortie une peau de mouton et la déposa dans un endroit plus paisible.

-Danaë est jeune, alors elle peut dormir où elle veut. Elle sera bien là-dessus!

Orléanne s'aprocha de Maxime et elle lui tendit la main.

-Bonjour je me nomme Orléanne. dit-elle

Maxime sourit en voyant la jeune fille s'approcher.

-Bonjour Orléanne, je me nomme Maxime; je suis chevalier errant à Paris et un grand ami de Cassandre. Je suis heureux de te rencontrer!

Il accepta sa poignée de main et continua:

-Et vous mademoiselle, que faites-vous à Paris? Je ne vous ai jamais vu dans les parages et croyez-moi, sans vous offanser, je vous aurait remarqué avec ses belles ailes blanches que vous avez dans votre dos.

Cassandre déposa un léger baiser sur le front de Danaë endormie pour qu'elle fasse de beaux rêves. Ensuite, elle retourna au chevet d'Amayelle et continua son examen médical. Elle se leva de nouveau, alla vers son armoire remplie de fioles de toutes les couleurs et de toutes les formes et commença à tasser les éprouvettes, à la recherche d'un contenant bien précis.

-Ah, te voilà! chuchota-t-elle.

La guérisseuse empoigna un récipient de verre en forme de poire contenant un liquide de couleur magenta. Elle retourna vers la malade et lui administra un peu de la potion. Amayelle eut une inspiration profonde de soulagement, mais recommença à gémir doucement. Cassandre se retourna vers ses invités et leur expliqua en voyant leurs regards interrogateurs:

-C'était pour faire tomber sa fièvre et pour qu'elle ait un sommeil moins agiter, donc plus reposant. Ça l'aidera un peu, mais je dois attendre le retour de Camelot avec l'eau pour faire une potion qui règlera le problème.

Un galopement précipité s'approchait de la maison. On entendit ensuite quelqu'un sauter par terre et Camelot, tout en sueur, fit éruption dans la pièce. Il tendit la gourde à Cassandre qui la prit immédiatement et alla concocter une potion dans le coin de sa demeure. Le chevalier se laissa ensuite tomber sur une chaise, complètement épuisé et ébranlé par la rencontre qu'il venait de faire au puits.

Maxime fût interrompu par l'arriver bruyante et brusque de Camelot. Max regarda son ami d'un air intriguer et se demandait bien si la maladie d'Amayelle l'inquiétait au point d'être tremper non pas par l'eau mais par la sueur! Peut-être que ce n'était pas Amayelle...

-Ça va Camelot? Tu n'as pas l'air dans ton assiette, mais si ça peut te rassurer je crois bien qu'Amayelle va s'en sortir...

-Oui, ça va... répondit-il, incertain.

Il se couvrit le visage avec ses mains et se les passa dans le front.

-Non, ça ne va pas, s'exclama-t-il après un court instant. J'ai rencontré la princesse de Flandres au puits, DAPHNÉ! Je ne comprend pas, elle était supposée être morte! Ça complique les choses!

Il regarda Maxime qui n'avait pas l'air de comprendre de quoi Camelot parlait. Il lui expliqua qui était Daphné et ce qui s'était passé:

-...et à ce moment, elle s'est jetée sur moi et s'est blessée elle-même l'épaule avec la lame de mon épée. Elle est partie sur le dos de Courage et quand j'ai appelé mon cheval, elle n'était plus là. Cette fille est folle et dangereuse! Elle serait bien capable de m'accuser de tentative de meurtre, tu comprends?